Archives de 2011

Communiqué de presse : Une réunion publique pour l’avenir du collège Pierre Mendès France à Val de Reuil (27100)

Les élus Europe Ecologie-Les Verts de Val de Reuil appellent tous les acteurs, parents, personnels d’éducation, élus, citoyens à retrouver l’esprit d’une éducation partagée et à débattre tous ensemble de ce sujet au coeur de la ville..
Les élus Europe Ecologie-Les Verts de Val de Reuil s’inquiètent des rumeurs de fermeture du collège Pierre Mendès France.
Il y a 35 ans, le collège Pierre Mendès France a été construit sur le modèle d’un collège ouvert sur la ville, dans l’idéal d’une éducation partagée. Aujourd’hui, la politique du tout-sécurité et du repli sur soi a amené un isolement et un délaissement du collège au bout de la dalle.
Il y a deux ans, l’assouplissement de la carte scolaire, en mettant en concurrence les établissements, a renforcé la ségrégation des élèves en fonction de leur origine sociale. A Pierre Mendès France aujourd’hui, 80% des 305 élèves sont issus de catégories socioprofessionnelles défavorisées. A la rentrée 2010, 56 heures d’enseignement ont été supprimées au collège. Cette situation ne peut pas continuer.
Val de Reuil est une ville jeune, en pleine expansion urbaine, tout comme les communes voisines. A la rentrée prochaine, sur les 3 établissements du site, près de 1200 élèves sont attendus. De nombreuses constructions sont programmées aux alentours du collège, dont un écoquartier dès 2011. De plus, c’est le seul collège desservi par le bus cadencé tous les quarts d’heure.
Dans cet environnement, une fermeture nous paraît aberrante. Il faut réfléchir au contraire à des solutions d’avenir pour cet établissement.
Dans un esprit participatif, les élus Europe Ecologie-Les Verts de Val de Reuil appellent tous les acteurs, parents, personnels d’éducation, élus, citoyens à retrouver l’esprit d’une éducation partagée et à débattre tous ensemble de ce sujet au coeur de la ville.
Les élus Europe Ecologie-Les Verts de Val de Reuil

jeudi 3 & 10 février 2011 au Neubourg (cinéma “Le Viking”) : l’avenir de l’agriculture et l’alimentation en question

L'avenir de l'agriculture et l'alimentation en question.
Le 3 février 2010, l'’association le Carrefour Rural organise la projection du film « Le Temps des Grâces », à 20h30 au cinéma le Viking du Neubourg, en présence de Dominique Marchais, son réalisateur. Cette projection sera suivie d’'un débat sur l'’avenir de l’'agriculture et l’'alimentation, au Carrefour Rural, le 10 février. Ce film questionne, que nous soyons agriculteur ou non, sur notre attachement à l’'agriculture au travers d’un voyage dans l'’évolution des paysages.
C’'est dans un climat particulier qu'’a lieu ce grand événement qui marque le début de l’'année. « Etre agriculteur aujourd'’hui, c'’est beaucoup d'’incertitudes pour demain car l'’agriculture est dépendante à la fois des questions écologiques, politiques et économiques. La production est confrontée au marché mondial et les prix sont de plus en plus instables et incertains» nous confie Annick Bril, agricultrice et membre du Carrefour Rural. « On est en pleine réforme de la PAC et c'’est collectivement qu'’on pourra trouver les moyens d’'aller vers plus d’'environnement mais aussi plus de reconnaissance pour les agriculteurs », ajoute Frédéric Lamblin, maraîcher à Beaumesnil.
Ces questions autour de l’'agriculture sont essentielles pour un département très rural comme l’'Eure. Aussi, la rencontre entre le citoyen et l'’agriculteur est incontournable. En effet, selon Frédéric Lamblin, « Aujourd’'hui c’'est important que les agriculteurs puissent discuter avec le reste de la population. Discuter pour écouter ce que les consommateurs et les citoyens attendent. Discuter pour que les agriculteurs puissent s'’exprimer sur les difficultés qu'’ils rencontrent, leurs questionnements ». Annick ajoute « Les agriculteurs veulent être reconnus pour leur travail au service de l’'intérêt général. Il leur faut donc tisser des relations avec les autres ruraux et les urbains. »
Le Carrefour Rural est une association qui réunit en son sein beaucoup d’'agriculteurs, des citoyens mais aussi des jeunes et des enfants. « Toutes les questions comme l’'emploi en agriculture, l'’installation des jeunes et le respect de l’'environnement nous concernent tous directement. Ce film et la rencontre avec son réalisateur sont une bonne occasion d'’aborder ces questions », conclut Frédéric qui lui a développé son propre métier dans l’'agriculture et l’'animation.
Le Carrefour Rural
6 rue de Verdun
27110 Le Neubourg
Tel : 02 32 34 72 81

Un colloque “L’Eure dans le Grand Paris” a rassemblé personnalités politiques et économiques pour aborder l’avenir de l’Eure.

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Le colloque "L'Eure dans le Grand Paris" a eu lieu le 17 janvier à l'hôtel du Département, à Evreux. Les personnalités politiques locales et régionales étaient présents (Jean Louis Destans, Laurent Beauvais, Alain Le Vern, Jean-Pierre Nicolas, Laurent Fabius, Antoine Rufenacht, Franck Martin, Michel Champredon, Philippe Nguyen Thanh,...), des personnalités du monde économique, représentant entre autres la CCI, SANOFI-Pasteur, la SNECMA... Et il y avait le préfet Jean-Pierre Duport, président du comité de pilotage pour le débat public pour la Ligne nouvelle Paris-Normandie. Puisque ce sujet sera au centre des échanges.
Les atouts et handicaps de l'Eure
Les atouts :
  • Territoire jeune, évolution démographique positive
  • Attractivité du territoire, solde migratoire positif
  • Filières économiques dynamiques (chimie-pharmacie, cosmétique, automobile, aéronautique et logistique)
  • L’axe séquanien, formidable atout et moteur potentiel du développement et de l’attractivité économique de l’Eure
  • Dynamiques intercommunales et partenariales propices à la réalisation de projets de développement local.
Les handicaps
  • Position «d’entre-deux ».
  • Absence de métropoles structurantes
  • Déséquilibre entre les «actifs entrants» et les «actifs sortants» quotidiennement du département
  • Risque de marginalisation géographique, notamment dans la perspective de la réalisation de la LNPN
  • Un département coupé en trois entre l’est et le nord sous forte influence métropolitaine (Paris et Rouen notamment), et l’ouest tourné davantage vers les espaces littoraux et ruraux.
Bassin parisien : de l'aménagement à la "coopétition". (Une analyse de Philippe Estèbe, directeur de l'institut des hautes études de développement et d'aménagement des territoires en Europe, et professeur à l'IEP Paris.)
Philippe Estèbe distingue 3 périodes au cours des 50 dernières années : 1. tout d'abord, l'Eure entre dans une "logique d'ateliers spécialisés" qui bénéficiera du desserrement industriel parisen. 2. Dans les années 80-90, le bassin parisien est conçu comme un frein au développement, et le département se repliera pour se protéger. 3. Puis nous sommes mis à concevoir le bassin parisien comme un territoire-ressource - c'est lui qui est chargé d'assurer les bonnes connexions avec les territoires périphériques dans l'enseignement, la recherche et la logistique - , avec lequel on fabrique une "métropolisation à double-sens". Pour profiter de la force du partenaire, nous valorisons les interdépendances territoriales, et non plus le seul développement local.
"le pilotage devient plus complexe", dit Philippe Estèbe, "mais plus intéressant dans la mesure où les collectivités se placent dans une logique de responsabilité territoriale générale."
Il parle alors de "coopétition" : "Quels sont les points sur lesquels j'ai intérêt à m'entendre avec mes voisins pour neutraliser la concurrence, et quels sont ceux sur lesquels j'ai intérêt à entrer en compétition avec mes voisins car cela permet un gain supérieur à la somme des stratégies localisées ?"
Stratégie partenariale
Le Département de l'Eure a défini 7 priorités de développement afin de bénéficier de la dynamique créée par le «Grand Paris» :
  1. Développer l'activité logistique entre Le Havre et Paris
  2. Développer des zones tertiaires à proximité immédiate des gares (en direction de Paris)
  3. S'inscrire dans les logiques économiques de métropolisation en confortant nos secteurs de recherche et développement
  4. Renforcer les investissements touristiques le long de l'axe Seine
  5. Développer une agriculture durable à valeur ajoutée
  6. Développer les territoires d'équilibre
  7. Conforter/développer les infrastructures indispensables à ce développement
On l'aura compris, même si l'accent est mis sur le cadre de vie et le bassin d'emploi, tout le débat tournait autour de la ligne grande vitesse qui reliera le Grand Paris au Havre. Je vous invite à lire le billet de José Alcala sur L'Eure veut sa part dans le grand Paris. Une ligne qui a largement oublié l'Eure, ce territoire "entre-deux", et qui ne bénéficie pas de métropole structurante...
Les réactions des acteurs économiques et politiques :
Les acteurs économiques sont globalement d'accord avec les 7 axes développés par le Département de l'Eure. Pour eux, les investissements dans l'infrastructure qui permettent les échanges, le train en particulier, et l'internet, est crucial [NdR : nous sommes assis sur un véritable fleuve numérique, avec notamment 3 datacenters, dont l'un des plus grands d'Europe, qui abreuvent Paris de données, là où nombre d'habitants et d'entreprises locales sont laissés à l'écart du très haut débit, voire du haut débit.]
Quelques réactions :
Bernard Boudot, directeur chez Sanofi Pasteur, à Val de Reuil : "Le cadre de vie est déterminant. 75% de nos 1.800 collaborateurs sur le site habitent dans l'Eure [...] La question des infrastructures est également importante car nous avons des flux de distribution physiques [...] Nous enregistrons également 3 000 déplacements professionnels de nos collaborateurs par an, d'où la nécessité de pouvoir compter sur de bonnes infrastructures [...]"
Thierry Delaporte, directeur d'établissement de Snecma Vernon : "L'une de nos ambitions est de pouvoir nourrir des échanges réguliers au quotidien, aux niveaux européen et mondial. Faciliter les communications dans la région de Vernon est donc crucial [...]"
Gilles Treuil, président de la CCI de l'Eure : "L'enjeu infrastructure est fondamental, qu'il s'agisse du routier, du ferroviaire ou même de l'accès au haut débit internet [...]
Nicole Orange, vice-président de l'Université de Rouen, directrice du laboratoire de microbiologie du froid à l'IUT d'Evreux : la formation, elle a été pensée en fonction du besoin industriel. Il faut maintenant regarder les métiers d'avenir et se tenir prêts [...]
Pour le préfet Jean-Pierre Duport, président du comité de pilotage pour le débat public pour la Ligne nouvelle Paris-Normandie, "tous les départements concernés par le Grand Paris avaient leur place dans la réflexion concernant la ligne nouvelle". "Les régions normandes doivent réagir. Le projet de ligne nouvelle à grande vitesse offre une occasion de se poser les bonnes questions et faire en sorte que les migrations quotidiennes qui sont aujourd'hui très importantes de Normandie vers Paris se fassent dorénavant de façon plus équilibrée."
Dans le même temps, il affirme qu'il respectera le cahier des charges qui lui a été soumis et dont l'objectif est de mettre Paris à 45' de Rouen et à 1h15 du Havre et de Caen. La LNPN (ligne nouvelle Paris-Normandie) ne sera pas qu'une ligne LGV, mais aussi une ligne LGE (ligne grand écart, avec des trains qui mettrons 45 minutes pour faire Paris-Rouen, tout en desservant notre département...)
"Cela ne nous empêche pas d'atteindre nos objectifs et c'est ce qui va conditionner la participation de la région à l'Ile-de-France, avec des améliorations induites pour Vernon et Evreux."
Quelques réactions parmi les personnalités politiques régionales présentes ;
Laurent Beauvais, président de la Région Basse-Normandie : Chacun des territoires apporte sa contribution pour échafauder une vision commune. [...] Il faut construire sur les questions portuaires, d'enseignement supérieur, économiques, environnementales. [...]
Alain Le Vern, président de la Région Haute-Normandie : "La notion de Grand Paris heurte mon esprit [...] La priorité pour nous à l'horizon 2020 est de régler la question du nœud ferroviaire de Rouen qui bloque l'ensemble du réseau haut-normand."
Michel Champredon, président du Grand Evreux Agglomération : "Je milite en tout cas pour la réalisation du «Y» dans l'Eure, de façon à permettre à la ville-préfecture du département d'être confortée, tout comme les autres pôles urbains de l'Eure."
Philippe Nguyen Thanh, maire de Vernon : "Je ne veux pas être simplement transpercé par cette voie mais en récupérer des bénéfices."
Franck Martin, président de la communauté d'agglomération Seine Eure : "Il n'y a pas de centre de décision global et unique pour la Normandie. [...] Il ne faut pas considérer la LNPN comme une ligne Paris/Rouen/Le Havre, mais comme une ligne Le Havre/Milan/Rouen/Düsseldorf."
Jean-Pierre Nicolas, député de l'Eure : "[...] Nous avons surtout besoin d'un meilleur cadencement et de trains qui partent et arrivent à l'heure et soient plus confortables."
Antoine Rufenacht, président du comité des élus de l'estuaire de la Seine : "L'ambition c'est de prendre acte de l'importance stratégique de nos ports. Il faut faire en sorte que l'axe Seine puisse se positionner et que notre pays ne soit pas seulement approvisionné par Anvers, Rotterdam et Hambourg. Nous n'aurions jamais parlé de LGV sans cet objectif portuaire."
Laurent Fabius, président de la communauté d'agglomération Rouen Elbeuf Austreberthe (CREA) : "[...] Mais ce projet ne peut être dissocié du contournement A28/A13. L'axe Rouen-Evreux ne doit pas non plus être oublié."

SCoT, la commune de Saint-Pierre du Vauvray vote son avis. C’est non.

Le débat sur le SCoT (Schéma de Cohérence Territoriale) a eu lieu lors du conseil municipal du jeudi 20 janvier 2010 à Saint-Pierre du Vauvray.
Parmi les conseillers, Jérôme Bourlet, Conseiller Régional, est le président du SCoT. Tandis que le maire, Alain Loeb, est rapporteur à l'urbanisme à la CASE (communauté d'agglomération Seine-Eure).
De nombreuses questions seront posés à Jérôme, qui répondra à toutes les questions et lèvera de nombreuses ambiguïtés. Transports, aménagement du territoire, logement seront au coeur du débat qui s'avèrera riche. En vidéo.
SCoT, la commune de Saint-Pierre du Vauvray vote son avis. C'est non.

Liberté, j’écris ton nom !

la blogueuse
J'ai été frappée, sur internet, à la radio, à la télévision, par ces témoignages de Tunisiens, enfin libérés après 23 ans de surveillance et de délation : "On avait pris l'habitude, lorsqu'on parlait de se retourner pour voir si quelqu'un nous écoutait." Les témoignages abondent d'opposants privés d'emploi, arrêtés arbitrairement, harcelés psychologiquement...
Brrr ! Heureusement, nous avons la chance de vivre dans un état démocratique, où la liberté d'expression et d'opinion sont des droits humains imprescriptibles. Où les bafouer constitue une discrimination. Où l'opposition politique est légitime, et non contrôlée par un Etat policier.
Souhaitons ne plus jamais revivre les heures sombres de la Collaboration, où l'on épiait son voisin, le dénonçait au besoin, puis laissait la Gestapo l'emmener, sans bousculer son petit train train quotidien ni sa bonne conscience.
Heureusement, si "Les gens allaient sans yeux pour vous le jour durant / (...) à l'heure du couvre-feu des doigts errants / Avaient écrit sous vos photos MORTS POUR LA FRANCE / Et les mornes matins en étaient différents" (Aragon, "Strophes pour se souvenir", en hommage aux membres de l'Affiche Rouge, des immigrés engagés dans la Résistance et tués pour cela).
Rappelons-nous ce poème, écrit au camp de Dachau en 1942 et attribué au pasteur Niemöller :
Quand ils sont venus chercher les communistes
Je n’ai rien dit
Je n’étais pas communiste.
Quand ils sont venus chercher les syndicalistes
Je n’ai rien dit
Je n’étais pas syndicaliste.
ils sont venus chercher les juifs
Je n’ai rien dit
Je n’étais pas juif.
Quand ils sont venus chercher les catholiques
Je n’ai rien dit
Je n’étais pas catholique.
Quand ils sont venus chercher les francs-maçons,
je n’ai rien dit
Je n’étais pas franc-maçon.
Quand ils sont venus me chercher
Il ne restait plus personne pour protester.

Les Clash revisités par Rachid Taha : Rock el casbah !

Europe Ecologie et la Tunisie : des positions claires dès le début

Europe Ecologie et la Tunisie : des positions claires dès le début.
Je me souviens du meeting d'Europe Ecologie à Montreuil, il y a tout juste un an (le 14 janvier 2010), et de l'intervention vibrante d'Azza Zarrad, la femme du journaliste et opposant Taoufik Ben Brik, alors emprisonné par le régime de Ben Ali. A l'initiative des eurodéputés écologistes, dont Hélène Flautre (impliquée depuis plusieurs années dans la défense des Droits de l'homme en Tunisie), un débat sur la Tunisie avait été organisé le 19 janvier 2010 au Parlement européen.
Dans une interview donnée au journal Mediapart le 15 janvier 2010, Azza Zarrad confiait : "Les Verts, et plus généralement la gauche française, ont pris leurs responsabilités, ce qui n’est pas le cas de l’UMP. C’est donc vers ce parti que se concentrent nos efforts. Certains membres de l’UMP ont tenu des propos impardonnables. Au regard des souffrances qu'endure le peuple tunisien, ce n’est plus possible !
Je vais demander à être reçue par Carla Bruni et Nicolas Sarkozy. Le président doit contraindre une bonne fois pour toutes le président Ben Ali à se conformer aux engagements qu’il a pris en matière de droits de l’homme devant la communauté internationale.
Et puis, il y a ce débat au Parlement européen, une première, que Ben Ali a d'ailleurs cherché à faire échouer par tous les moyens. Que ce débat ait lieu, c’est déjà une victoire pour nous comme pour tous les démocrates tunisiens. Il est temps que le masque tunisien tombe." (Mediapart, 15 janvier 2010)
Dans un tchat du Nouvelobs, dix jours après sa libération, le 7 mai 2010, Taoufik Ben Brik lui-même, interpellé sur la position de la France vis-à-vis du régime tunisien, confiait : "C'est une liaison dangereuse, incestueuse. La France croit que son intérêt est dans un Ben Ali pépère et surtout un Ben Ali 'perpète'. Un Ben Ali, un Ben A vie. La France se goure. Comme toujours". Ayant à son tour demandé à rencontrer Nicolas Sarkozy, il ajoutait : "C'est la dernière fois que je frappe à la porte de l'Elysée. En cas d'échec, je frapperai à la porte des étoiles, à l'Amérique. Rencontrer le président des présidents, Barak Hussein Obama. Ils disent qu'il est disponible pour les troubadours." (Claire Fleury - Nouvelobs)
A l'instar de Claude Taleb sur Facebook hier, je veux saluer la clairvoyance et l'engagement de notre députée européenne Hélène Flautre : "Quand personne ne voulait voir et entendre, LN Flautre honorait son mandat parlementaire, allant en Tunisie soutenir Moncef Marzouki, Sihem Bensédrine, Radhia Nasraoui, l'ami Taoufik Ben Brik... les aidant en dépit des menaces, des coupures de téléphone, des calomnies ordurières des flics de Ben Ali, en dépit, aussi, du silence des ministres français des aff étrangères. Je suis heureux pour Taoufik. Bravo LN!"
Et bravo encore surtout au peuple tunisien, pour s'être libéré - dans la douleur... - du joug de Ben Ali. En souhaitant, à l'instar de Samira Abed (@Khaffousa) sur Twitter hier : "...ON VEUT UN ETAT LAÏQUE POUR TOUTES LES TUNISIENNES ET TOUS LES TUNISIENS "JUIFS & MUSULMANS & CHRÉTIENS & ATHÉE " #SidiBouzid. En passant par une assemblée constituante ? "Il est fini le temps des sauveurs et des héros, nous avons atteints la majorité, nous voulons l’autonomie !" clamait Shiran Ben Abderrazak le 15 janvier dernier sur nawaat.org, l’un des principaux sites de la contestation tunisienne.

Conseil municipal : jeudi 20 janvier 2011 à 18h45

Nous rappelons que le public peut assister au conseil municipal : il suffit de se rendre à la mairie de Saint Pierre du Vauvray.
Ordre du jour :
  1. Procédure(s) concernant le site internet communal ;
  2. Répartition subvention S4 fonds péréquation taxe sur mutations programme 2010 ;
  3. SCOT.

Jeudi 20 janvier 2011, 20h, au cinéma Le Grand Forum de Louviers : projection du film “Je mange donc je suis”, suivi d’une conférence-débat animée par Marc Dufumier

Vers une alimentation durable : bio, sociale et solidaire
VERS UNE ALIMENTATION DURABLE : BIO, SOCIALE ET SOLIDAIRE
Le 20 janvier, l'association Artisans du Monde et la communauté d'agglomération Seine Eure accueilleront Marc Dufumier, professeur à Agro Paris Tech, au cinéma forum de Louviers, pour la projection du film "Je mange donc je suis", suivi d'un débat.

Samedi 22 janvier, 10h, à Saint Etienne du Vauvray : les enfants et l’informatique… si nous en parlions ?

Les enfants et l'informatique... si nous en parlions ?
Le CCAS, centre communal d’action sociale, et la municipalité de Saint Etienne du Vauvray vous invitent à un café-débat et à une exposition sur l’utilisation des multimédias en toute sécurité, en partenariat avec l’école primaire et l’association action de prévention AAP :
samedi 22 janvier de 9h45 à 12h00
salle Claude Monet à St Etienne du Vauvray
L'exposition a été réalisée par les élèves de CE2, CM1 et CM2 de Mme Marie-Josée Guerra,
Le café débat sera co–animé par Brigitte Larson-Languepin, intervenant de l’association AAP et Olivier Goujon, responsable des relations numérique de la ville de Louviers.
Parents, grands-parents, enfants, adolescents, vous êtes tous les bienvenus !
Bien cordialement,
Emmanuelle PORTIER
Conseillère municipale déléguée à l’action sociale

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