Archives de 2010

Conseil municipal : mercredi 3 février 2010

Le Conseil Municipal se réunira le mercredi 4 novembre à 18h30.

Nous rappelons que le public peut y assister s'il le souhaite. Rien de plus facile, il suffit de se rendre à la mairie de Saint Pierre du Vauvray.

Plusieurs points à l'ordre du jour :

  1. Créances à admettre en non-valeur de 2009.
  2. Décisions modificatives 2009.
  3. Subventions exceptionnelles Judo Club Vauvray et EAV.
  4. Location du bureau de poste à la mairie.
  5. Participation à la gestion des écoles 2009/2010 des communes extérieurs.
  6. DEBUCY changement de copieur.
  7. Poste à temps complet au secrétariat.
  8. Dossier Groupe Duval modification du cadastre et signature d'une convention.
  9. CASE : convention de financement attribution d'un fonds de concours.

Luc Chatel a ses solutions pour remplacer les professeurs : faire appel au pôle emploi et aux étudiants

Sur les 5 millions de fonctionnaires appelés à faire grève contre les suppressions de postes, le corps enseignant est particulièrement touché, avec 45 000 suppressions de postes d'enseignants, et leur cortège de conséquences : classes de plus en plus surchargées, options supprimées, et bien sûr des remplacements de moins en moins effectués. Sur Europe 1, leur ministre, Luc Chatel, se prononce pour des solutions concernant ces remplacements... Les avis sur leur efficacité risquent de ne pas être partagés par tous !
A la question posée par le Parisien sur les remplacements à l'Education Nationale (pourquoi les profs absents sont-il si peu et si mal remplacés ?), Luc Chatel a "sans doute" une solution :
"Le système de remplacement dans l'éducation nationale fonctionne mal, est mal organisé, il n'est pas assez souple, il n'est pas assez réactif. [...] J'ai décidé de m'atteler à la tâche. [...] Il faut un système de remplacement des professeurs qui soit plus réactif [...], améliorer le système de remplacements des professeurs par 3 moyens : lire la suite
carte des académies - www.education.gouv.fr
Luc Chatel, ministre de l'éducation nationale, nous propose SA solution au problème du (non-)remplacement des professeurs, un problème dû sûrement aux suppressions de dizaines de milliers de postes à l'éducation nationale. Sa politique tient en 3 points :
1 - Réactivité, réactivité, réactivité, c'est le mot d'ordre asséné, affirmé. Dès le 1er jour, les autorités académiques devront être mobilisées. Que ne l'ont-elles été jusqu'à lors ? Et surtout, pour que ce mot d'ordre ne relève pas que de la méthode coué, ou du vœu pieux, quels seront les moyens mis en œuvre pour redresser une situation qui ne cesse de s'aggraver ?
2 - Assouplir le système de remplacement, actuellement géré par académies (clic clic sur la carte ci-contre) en permettant l'affectation de personnels d'académies voisines. Cela nécessitera sûrement de (longues ?) négociations, de chambouler les méthodes de travail, d'adapter les logiciels etc, etc. Mais pourquoi pas si cela permet d'améliorer la situation ? Mais respectera-t-on le rôle, la mission et les conditions de travail des professeurs ? Car cette revalorisation des enseignants que le ministre appelle de ses vœux passe aussi par la reconnaissance de la mission des professeurs, la reconnaissance de leurs compétences, et bien sûr des conditions dans lesquelles s'effectue leur mission. Cela conditionne évidemment l'accomplissement de leurs missions, de la meilleure façon possible.
L'exemple pris d'un professeur de Créteil qui serait affecté à Paris n'est pas représentatif des académies du reste de la France. Là où les distances s'expriment en dizaines de kilomètres, on peut traverser la moitié du pays pour traverser les académies de Montpellier à Clermont-Ferrand, de celle de Clermont à celle de Tours, ou de celle de Tours à celle de Rouen. Les échelles ne sont pas les mêmes. Dossier à suivre...
3 - Enfin, pour son troisième point - faire appel au pôle emploi et aux étudiants, ainsi qu'aux retraités de l'éducation nationale, pour remplacer les professeurs, voilà qui peut passer pour un véritable camouflet pour les enseignants, les élèves et les parents. Ainsi que pour les citoyens pour qui la citoyenneté passe aussi par l'éducation de ces jeunes citoyens. La capacité à faire appel à des retraités de l'éducation nationale, cela a-t-il été modélisé ? Des sondages ont-ils été effectué pour évaluer le potentiel de population concernée ? Ou n'est-ce mis en valeur que pour cautionner la "diversification et la richesse" de ce nouveau système de remplacement.
Notre pays a besoin de jeunes toujours mieux formés, qui devront s'insérer dans une société de plus en plus tournée vers les services et la technologie, et où les compétences et la formation sont des facteurs de plus en plus importants pour l'insertion et la réussite professionnelle et sociale.
Les professeurs, à qui est largement dévolue cette mission d'éduquer notre jeunesse, et qui ont la confiance des parents et d'une large majorité de nos concitoyens, sont-ils voués à être remplacés par des chômeurs et des étudiants ? N'y voyez pas une quelconque opprobre à l'endroit des chômeurs ou des étudiants, mais le métier d'enseignant exige des compétences propres, et de l'expérience. C'est pour acquérir cette expérience qu'au sortir de leurs études, les enseignants effectuent une année de stage accompagné.
Pour que l'éducation nationale puisse rendre ce service à la hauteur des attentes, il faut qu'elle puisse offrir l'éducation à laquelle chaque élève a droit, et non remplir une simple mission de gardiennage, ou pire, de mauvaises expériences éducatives qui pourraient conduire à des échecs scolaires.
Nous comprenons que le but de ne pas remplacer 1 professeur sur 2 lors de ces départs massifs à la retraite permettra des gains budgétaires très importants. Mais à quel prix ?
Etes vous prêts à confier l'éducation et l'avenir de vos enfants à pôle emploi ou à des étudiants ?

Soutien aux travailleurs de l’usine M-Real : le 27 janvier à 14h devant la Préfecture d’Evreux

Après deux mois de mobilisation, plus de 5000 signatures, plusieurs manifestations, les travailleurs de M-Real ont enfin obtenu auprès de la Préfète et des pouvoirs publics, une table ronde avec : les organisations syndicales CGT et CFE/CGC, les membres du collectif (NPA, PCF, PS les VERT…), la direction M-real, le président du conseil régional, le commissaire à la réindustrialisation, le SGAR, le député…

Le mercredi 27 janvier à 14 heures 30 à la préfecture d’EVREUX.

C’est une étape mais ne soyons pas dupes. Nous ne bougerons pas de nos objectifs : Redémarrage de l’usine de pâte. Pas un licenciement chez M-real.

Notre usine peut et doit vivre ! Mercredi nous donnons rendez-vous à toutes celles et tous ceux qui individuellement ou collectivement sont confrontés aux suppressions d’emploi et aux licenciements. A toutes les équipes syndicales qui veulent se faire entendre à tous ceux qui veulent dire stop à l’hémorragie de l’emploi à partir de 14 heures devant la préfecture d’EVREUX.

Les travailleurs de M-real mobilisés avec le soutien de leurs syndicats CGT et CFE/CGC, du collectif pour le maintien et le droit de l’emploi chez M-real.

SOS ESTUAIRE : Venez manifester le dimanche 31 janvier !

SOS estuaire !

A l'occasion des journées internationales de protection des zones humides, le collectif associatif organise le dimanche 31 janvier à 10H une journée de Rencontre et de Découverte de l'Estuaire de la Seine.

Rendez-vous route industrielle, à l'est de la cimenterie Lafarge (dernier feu rouge), avec des bottes et si possible des jumelles.

Après la manifestation vers 12H30, pour ceux et celles qui pourront rester toute la journée, nous nous rendrons pour manger dans la salle municipale de ST VIGOR (pique-nique tiré du sac) et nous assisterons vers 14H30 au film/débat sur les richesses écologiques de l'estuaire de Seine.

Rien n'est écrit, et nous savons que l'action est indispensable pour que d'autres choix écologiques et économiquement durables s'imposent.

Faisons de cette journée un grand moment de mobilisation pour la biodiversité !!!!

A bientôt et très bonne année 2010 !!!!

Patrice BONAY, vice-président de SOS ESTUAIRE

renseignements > 02 35 42 11 98

Gaz de Normandie suspend pour six mois son projet de terminal méthanier à Antifer (AFP)

Non au terminal méthanier !

Une première victoire pour les écologistes et les habitants du Grand Havre !

LE HAVRE, 19 jan 2010 (AFP) - Gaz de Normandie (GDN), une filiale de Poweo, a annoncé mardi la suspension pour six mois de son projet de terminal méthanier à Antifer, près du Havre, le temps de trouver de nouveaux partenaires pour en "consolider" le financement.

"Nous restons convaincus qu'il s'agit d'un excellent dossier, qu'il nous faut consolider en trouvant de nouveaux partenaires", a indiqué à l'AFP Bruno Leredde, directeur adjoint du projet. Il a précisé que GDN se donnait six mois pour trouver ces "partenaires" qui pourraient être français ou étrangers. Selon lui, le coût du projet, initialement estimé à 500 millions d'euros, approche aujourd'hui le milliard.

"Il présente toutefois l'avantage d'avoir un coût de raccordement au réseau de gaz national inférieur à d'autres projets et d'avoir peu d'impact sur l'environnement car il sera installé dans l'enceinte du port pétrolier d'Antifer", a précisé Bruno Leredde.

Cette suspension a été accueillie avec satisfaction par les opposants au projet mobilisés depuis son annonce en 2006.

"Nous avons gagné une bataille et je ne vois pas comment, avec le climat concurrentiel qui règne dans le domaine de l'énergie aujourd'hui, ils pourraient rebondir dans six mois", s'est réjouit François Auber, le maire DVG de Saint-Jouin-Bruneval où se situe Antifer.

Trois autres projets comparables ont été annoncés ces dernières années sur le littoral français, dans l'orbite des ports de Dunkerque, Bordeaux et Marseille. L'Etat a décidé en novembre de ne pas donner suite à celui de Bordeaux, porté par le Néerlandais 4Gas, pour des motifs environnementaux.

AFP 19/01/10

Pour une politique écologique de la jeunesse : réunion publique le 25 janvier à Evreux

Pour une politique écologique de la jeunesse

à 19 h 30, Maison de quartier de Nétreville, salle polyvalente, 5, rue Dugay-Trouin,

Avec Claude TALEB, tête de liste Haute-Normandie Ecologie.

Lycées, Education Populaire, Formation professionnelle : Une politique écologique de la jeunesse en Haute-Normandie

Etre jeune, cela signifie-t-il devoir se plier à la compétition scolaire, et à la précarité professionnelle ?

C’est au contraire par l’apprentissage de l’autonomie, de la responsabilité et des droits que les jeunes pourront accéder à l’éducation, à la culture et à la citoyenneté, appuis nécessaires pour la transformation écologique dont notre société a besoin.

Intervenants :

- Claude TALEB, Vice-président du conseil Régional, Tête de liste régionale Haute Normandie Ecologie

- Perrine Hervé-Gruyer, Tête de liste de l’Eure

- Jérôme Bourlet, Jacqueline Fihey, Guillaume Llorca, candidats sur la liste Haute-Normandie Ecologie de l’Eure

Meeting d’Europe Ecologie à Montreuil : the place there was to be !

branchés ? cablés ? euh... linkés !

Il est loin le temps où mes parents écolos n'avaient ni voiture ni télé ni téléphone... Samedi dernier à Montreuil, si de nombreux militants avaient utilisé les transports en commun, c'était en revanche une vraie débauche de technologie ! Ca twittait sec dans tous les coins et les blogueurs s'étaient joints aux nombreux journalistes pour filmer les personnalités écolos. Laure rend bien l'ambiance dans son blog, avec des clins d'oeil à ses camarades de la sphère (blogdebix, Seb Musset, reversus, piratages, intox2007).

Oui, mais sur le fond ?

J'ai bien aimé (comme toujours d'ailleurs, je suis fan !) le regard critique d'Olympe sur la parité au sein des têtes de listes régionales : Europe ecologie, peut mieux faire !

J'ai été émue par l'intervention de la femme du journaliste et opposant tunisien Taoufik Ben Brik, emprisonné par le régime du président Ben Ali. Pour que la liberté et la fraternité se conjuguent au présent.

J'ai adoré évidemment Eva Joly, admirable comme toujours ! "Nous ne travaillerons pas avec les banques qui ne quittent pas les paradis fiscaux" ; "Les régions gouvernées par EE ne traiteront pas avec les banques qui donnent des bonus indécents aux traders" : Avec Eva, yes we can !

Car maintenant camarades, c'est le moment de se jeter dans la mêlée, avec nos programmes, nos projets, notre courage et notre volonté, pour prouver qu'enfin nous vivons au présent et opérer la conversion écologique... du rêve en réalité !

Haute-Normandie Ecologie : réunion publique le vendredi 22 janvier aux Andelys

HNE à 20h, salle des mariages, avec :

Claude Taleb tête de liste Haute-Normandie Ecologie

Perrine Hervé-Gruyer tête de liste dans l’Eure

et Jérome Bourlet, candidat et porte-parole des Verts 27

Thème : l’agriculture, l’économie et les orientations de la campagne

"Haute-Normandie Ecologie Une nouvelle énergie pour l’emploi"

Europe Ecologie - Les -Verts

Contacts presse : Cyrille Moreau - Directeur de campagne 06 67 30 89 45

Bruno Le Maire s’oppose à l’interdiction de la pêche au thon rouge.

le bluefin géant (ou thon à nageoires bleues), qui peut atteindre 3 mètres et peser jusqu'à 800 kg. Le nec plus ultra des 500 000 tonnes de poisson cru que le Japon consomme chaque année
"Si nous interdisons la commercialisation du thon rouge, c'est-à-dire pour être très concret, si nous inscrivons le thon rouge (en) annexe 2 de la CITES, nous interdisons 90% des exportations de l'Union européenne vers l'extérieur, donc je crois que ce sera déjà un progrès important.". C'est ainsi que le mercredi 13 janvier, le ministre de l'agriculture et de la pêche, candidat de l'UMP aux régionales en Haute-Normandie en 2010, s'est exprimé sur France 2..
C'est donc une opposition à l’inscription du thon rouge en annexe 1, seule solution pour sauvegarder les thons rouges restant en Méditerranée, selon les ONG. L'annexe 2 de la CITES concerne les espèces dont la survie n'est pas menacée à l'heure actuelle, mais qui pourrait le devenir...
La Commission Européenne avait proposé aux 27 Etats européens (L’UE demande l’interdiction de la pêche du thon rouge. Qui l’eût cru ?), en septembre 2009, de soutenir une telle inscription lors de la conférence de la CITES(*) à Doha en mars prochain.
Mais la France, l'Espagne, l'Italie, la Grèce et Malte ont refusé de soutenir cette proposition (Le thon : suite et fin (de l’espèce)).
Pourtant les dernières évaluations de l'ICCAT (Commission internationale pour la conservation des thonidés de l’Atlantique) sont plus qu'alarmantes : La population de thons rouges aujourd’hui a chuté à moins de 15 % de la population d’origine, critère scientifique retenu pour un classement en annexe 1, sans délai.
La position du gouvernement français semble bien confuse :
La veille, Jean Louis Borloo déclarait qu’il n’avait « pas de doute », sur le soutien de la France à l’inscription du thon rouge en annexe 1.
Le 16 juillet 2009, le président Sarkozy affirmait que "les menaces qui pèsent sur certaines espèces comme le thon rouge ne peuvent plus être ignorées". Il annonçait "le soutien de la France à l'inscription du thon rouge à l'annexe de la convention internationale sur les espèces sauvages, pour en interdire le commerce."
Aujourd'hui, c'est une inscription à l'annexe 2 qui est préconisée par le ministre Bruno Le Maire.
Nicolas Sarkozy devrait annoncer en début de semaine prochaine la position officielle. Le thon rouge, on le sauve ? On le laisse s'éteindre ?
(*) Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages.

La terre, pour quoi faire ? Pro-bio at anti-bio ont débattu à Fleury sur Andelle…

La terre, pour quoi faire ? Pro-bio at anti-bio ont débattu à Fleury sur Andelle...L'association saveurs et savoirs nous invitait à un café philosophique sur le thème : La terre, pour quoi faire ? Lotissements ? Routes ? Zones d’activités ? Cultures ? Nature ? Biodiversité ? Comment partager ?
Pour information, je ne suis venu à cette réunion que comme "consom'acteur", sans connaissances techniques préalables suffisantes. Je suis donc là pour me faire une idée...
La présidente de saveurs et savoirs et Céline, la coordinatrice de l'association, sont rentrées tout de suite dans le débat, en parlant des difficultés du retour à la terre, et des problèmes d'accession aux terres. Surtout pour les agriculteurs(trices) bio.
Pour en débattre, elles ont invité :
Emmanuel Hyest, président de la FDSEA et de la SAFER,
Gaël Louesdon, co-fondateur de la Foncière Terre de Liens,
Jean-François Dufaux, chargé de mission au Conservatoire des Sites Naturels de Haute-Normandie.
Avant de donner la parole à M. Hyest, la présidente rappelle les difficultés que recontrent les maraîchers bio, en citant les cas de plusieurs maraîchers, dont un seul a bénéficié de l'attribution d'une terre, et encore s'agissait-il d'une terre qui appartenait à sa famille.
Elle évoque le cas d'un maraîcher bio, qui a bénéficié d'un avis technique positif sur son projet, mais n'a pas obtenu la parcelle qu'il souhaitait.
M. Hyest rebondit aussitôt, car il connaît bien le dossier, pour l'avoir instruit, et nommera cet agriculteur M. B. Or, Benoît Lelièvre, puisque c'est de lui dont il s'agit, a effectivement reçu un avis favorable, mais la Safer lui a accordé une surface, car on n'accorde pas de parcelle. La parcelle que M. Lelièvre souhaitait a été accordé à un éleveur, et une autre surface, une parcelle en plein milieu de labours, sans haies, et plus éloignée d'un point d'eau, lui a été accordée.
Là nous sommes entrés dans la polémique. Pour les agriculteurs bio, le choix de la parcelle est important pour la qualité de leur production. Cette parcelle avait été choisie. Pour M. Hyest et la Safer, une parcelle est équivalente à une autre, et de plus, selon lui, cette parcelle est trop humide pour pouvoir y faire du maraîchage. Et la forme, en pointe, ne permet pas d'y effectuer l'activité de maraîchage. Pour philippe Brière, éléveur bio, au contraire, le choix de la parcelle est des plus importants.
Sur ce choix, il m'a semblé comprendre que déjà agriculteurs bio et agriculteurs intensifs (on parlait d'agriculture intensive, maintenant d'agriculture raisonnée, et bientôt, pour la même activité et les mêmes méthodes, d'agriculture à haute valeur environnementale) s'opposent déjà. Ca va être chaud ?
C'est M. Hyest qui, après ce préambule, prendra la parole pour rappeler l'histoire de l'agriculture depuis 1955 et présenter la Safer et son rôle pour les agriculteurs... lire la suite

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