Archives de 2010

Donnons une seconde vie aux livres : création de l’association Toumaï, club de solidarité avec l’Afrique, à Val de Reuil (27100)

Donnons une seconde vie aux livres : création de l'association Toumaï, club de solidarité avec l'Afrique
Après le succès de l'opération Tabagne, qui a permis d'acheminer plusieurs m3 de livres vers la Côte d'Ivoire, nous avons eu envie de pérenniser cette action de collecte solidaire pour l'Afrique.
Cette première opération avait été impulsée par Henri Sobowiec, le très dynamique président de l'association "Lire et faire lire", qui m'avait sollicitée pour un échange entre des collégiens du collège Pierre Mendès France de Val-de-Reuil et le collège Moderne de Tabagne en Côte d'Ivoire. Suite à notre correspondance, le manque criant de livres et de bibliothèques nous était apparu et une grande opération de collecte avait été lancée auprès des écoles, des collèges, des lycées et des bibliothèque de la communauté d'agglomération.
Plusieurs générations d'hommes, de femmes et d'adolescents ont généreusement prêté leurs bras et donné de leur temps pour mener à bien le travail de tri et de paquetage de la précieuse cargaison.
Enfin, trois jeunes filles du collège sont courageusement allées défendre ce projet auprès du jury "Envie d'Agir" de la Direction Départementale de la Jeunesse et des Sports. Grâce aux 500€ qu'elles ont ainsi pu obtenir, 5m3 de livres ont été acheminés vers la Côte d'Ivoire.
Ce premier succès nous a donné envie de pérenniser cette action vers l'Afrique.
Chaque année, des tonnes de livres en bon état partent au pilon dans les bibliothèques, les écoles, les établissements secondaires. Quel gâchis quand d'autres, ailleurs, n'ont pas cette chance d'avoir accès aux livres pour apprendre ou pour se distraire !
Bien vite, l'idée de créer une association spécifiquement dédiée à cette action a germé. Henri nous a alors proposé de créer "Toumaï" : Toumaï est le plus vieux crâne fossile découvert à ce jour et, dans la langue du désert tchadien où il a été trouvé, Toumaï signifie, "espoir de vie".
L'objet de cette association :
  • Donner une seconde vie aux livres ;
  • Contribuer à la lutte contre les inégalités entre les pays du Nord et du Sud, par la création de bibliothèques qui permettront l'accès à la culture ;
  • Favoriser l'engagement citoyen des jeunes, grâce au rapprochement avec les Foyers socio-éducatifs des collèges et les Maisons des lycéens ;
  • Contribuer à une culture de la paix et à la lutte contre le racisme, par la rencontre de personnes de cultures et d'âges différents.
Si vous aussi vous êtes prêts à donner un peu de votre temps pour soutenir cette action solidaire, généreuse et conviviale, rejoignez-nous à la prochaine Assemblée générale de l'association, le jeudi 18 mars 2010 à 17h, au local du RERS, 1 rue Pierre Première à Val de Reuil.
Vous pouvez également contacter Henri Sobowiec par mail : fhsobowiec@free.fr.
Vous pouvez enfin laisser des commentaires sur ce blog.
A lire : Plaidoyer pour des bibliothèques en Afrique du romancier et poète Alain Mabanckou.

ZEP : oui à l’excellence pour tous les enfants de la République. A Val de Reuil, et partout en France.

sur les grilles du Rectorat
Ce matin du 12 mars 2010, les professeurs du collège Pierre Mendès France de Val de Reuil (27) étaient ponctuels à l'appel : à 8h30, ils ont répondu présents à l'appel... de la grève ! Ils se sont mobilisés pour protester contre les suppressions de moyens qui touchent de plein fouet leur établissement. Les premiers taux de grévistes.
56 heures d'enseignement en moins, c'est ce qui attend notre établissement à la rentrée prochaine !
Et les conditions d'enseignement continuent se dégrader : toujours plus d'effectifs par classe, avec moins d'enseignants, c'est moins de matières et d'enseignement proposés aux élèves. C'est l'équation que nous propose l'Inspection d'Académie.
Toute l'équipe éducative et les parents d'élèves sont bien décidés à ne pas accepter cet état de fait.
Dès le mois de février, les élus du conseil d'administration ont adressé une motion à M. Moya, l'Inspecteur d'Académie de l'Eure. Une audience est programmée le mercredi 17 mars prochain.
Dès le 12 mars, les professeurs ont voulu exprimer leur inquiétude : ils se sont joints à la journée nationale d'action dans le secondaire. 16.000 postes d'enseignants vont être détruits au cours de l'année 2010. Dans notre établissement, cela représente 4 postes supprimés.
Et ce seront encore les élèves les victimes : moins d'adultes par élèves, moins d'offre d'enseignement (allemand, latin...). Cela favorisera les demandes de dérogations vers d'autres établissements, et limitera les possibilités d'étudier de ceux qui restent.
Il sera aussi impossible de constituer des groupes (1/3 de classe, demi classe ou 2/3 de classe). Les groupes sont pourtant indispensables pour permettre aux élèves les manipulations dans les disciplines scientifiques ou technologiques. Ils sont indispensables aussi pour mettre en place le travail par compétences en langues.
Les profs eux, auront de plus en plus de missions à accomplir, sans qu'on ne leur en donne les moyens (validation du socle commun, du B2I, du niveau A2 en langues, du parcours des métiers, de l'option histoire des arts...)
Nous nous battons pour un meilleur enseignement, pour des élèves mieux formés.
C'est pour cela que nous interpellons les institutions : Notre mission est une mission de service public. Accordons le droit à l'excellence à tous les élèves, quelles que soient leurs origines sociales.

La marche pour l’emploi du 10 mars en soutien à M-Real

l'usine derrière, c'est là que je travaillais...
Depuis quatre mois, un collectif s'est créé pour maintenir les emplois de l'usine de pâte à papier de M-real à Alizay.

Ce collectif, qui réunit les représentants des différents syndicats et partis politiques, cherche par tous les moyens à mettre en valeur la lutte des salariés pour la sauvegarde de leurs emplois.

Dans le même temps, il propose des solutions pour faire repartir cette unité de production.

Devant le peu de vision stratégique de l'entreprise, et sa volonté de se séparer de ce site, les solutions proposées par le collectif sont :

  • la valorisation de la biomasse (bois et déchets de coupe) pour produire de l’électricité verte,
  • la fabrication de plaquettes bois pour alimenter les réseaux de chaleur,
  • la fabrication de ouate de cellulose,
  • la fabrication d'agrocarburant de deuxième génération…

Ou bien on trouve un repreneur pour la production de pâte à papier.

L’ensemble de ces propositions renforce l'idée que la fermeture de ce site n’est qu’un désengagement industriel dans un but purement financier.

De nombreux élus ont su se mobiliser au regard de l’importance de l’enjeu : l’emploi dans cette partie de la Vallée de Seine. Espérons que cette volonté ne s’arrêtera pas le 22 mars.

Aujourd'hui, c’est une marche pour l'emploi dans le secteur de pont de l'arche et ses environs qui a uni dans l’espoir les travailleurs, les syndicats, les familles, citoyens et citoyennes, aux côtés de leurs élu(e)s.

Toutes les communes des environs étaient représentées, au travers de leurs maires, adjoints et conseillers municipaux : Louviers, Val-de-Reuil, Pont-de-l’Arche, Les Damps, Alizay, Pîtres, le Manoir, Poses, Léry, Heudebouville, andé, Saint-Etienne-du Vauvray. La commune de Saint-Pierre-du-Vauvray était aussi représentée par 2 conseillers municipaux, Laetitia et moi-même, sous la bannière Europe-Ecologie. Le député François Loncle, et des conseillers généraux, étaient présents pour soutenir cette marche.

Cette volonté des salariés de garder leurs emplois sur ce site est un exemple, qui montre ô combien le savoir faire industriel dans notre région est une culture que ne nombreux décideurs ont tendance à oublier.

Il temps que les politiques ne basent pas uniquement leurs visions de développement économique sur les désirs de la CCi et de la CRCI de ne voir dans notre région qu'un développement de la logistique. Cette stratégie consomme du foncier, et fournit peu d'emplois.

Aujourd'hui je suis triste de voir qu’au niveau de notre tissu industriel, la seule variable d'ajustement est le salarié.

Par contre, je suis heureux de voir que les solutions proposées par les écologistes sont porteuses d'espoir dans le monde de l'industrie. Dès aujourd'hui l'industrie verte est porteuse d'emplois, ne laissons pas passer cette chance.

La Haute-Normandie, 22ème au palmarès des régions les plus vertes

La cuiller de plastique (et ouaih, pour ce palmarès, c'était pas du bois, que l'on préfère réserver à l'usage de la langue) pour notre région, la Haute-Normandie, qui arrive bonne dernière de ce palmarès des régions les plus vertes
Terra eco a épluché le bilan des 22 régions françaises métropolitaines, et nous sommes fiers de vous annoncer que nous sommes... la 22ème région sur 22 !!!
Le chemin est long, et une certaine vision de l'écologie "positive" nous rappelle à notre rôle de cancre, au fond de la classe, près du radiateur...
Allons, ne nous affligeons pas, ils nous reste une chance d'infléchir les choses : vous faites quoi, vous, dimanche ?

Révélations d’une source interne à EDF : l’EPR risque l’accident nucléaire !

l'EPR risque l'accident nucléaire !

Le Réseau "Sortir du nucléaire" révèle des documents confidentiels, divulgués par une source anonyme interne à EDF. Ces documents démontrent que la conception de l’EPR implique un sérieux risque d’accident majeur – risque pris en conscience par EDF pour des raisons de calcul économique. Potentiellement sujet à un emballement dont les conséquences seraient incontrôlables, l’EPR s’avère donc extrêmement dangereux.

Le Réseau "Sortir du nucléaire" a constitué un groupe d’experts pour analyser de façon approfondie ces documents. Voici les premiers enseignements que l’on peut en tirer.

Certains modes de pilotage du réacteur EPR peuvent provoquer l’explosion du réacteur à cause d’un accident d’éjection de grappes (qui permettent de modérer, d’étouffer la réaction nucléaire). Ces modes de pilotage sont essentiellement liés à un objectif de rentabilité économique, qui implique que la puissance du réacteur puisse être adaptée à la demande électrique. Ainsi, dans le but de trouver une hypothétique justification économique à l’EPR, ses concepteurs ont fait le choix de prendre le risque très réel d’un accident nucléaire. De plus, l'essentiel des arguments en faveur de l'EPR (puissance, rendement, diminution des déchets, sûreté accrue) s'avèrent faux.

EDF et Areva ont tenté de modifier le pilotage du réacteur : ces efforts n'ont pas abouti à des parades éliminant cette classe d'accidents. L'Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) a semble-t-il été tenue à l'écart de ces questions.

Il semble donc bien que la conception de l’EPR accroisse le risque d’un accident de type Tchernobyl, qui entraînerait la destruction de l’enceinte de confinement et la dispersion massive de radionucléides dans l’atmosphère.

Les 8 et 9 mars, Paris accueille une conférence internationale pour inviter 65 pays à se doter de la technologie nucléaire. Cette conférence sera ouverte par Nicolas Sarkozy et animée par le Directeur Général de l’AIEA. Il est scandaleux que la France continue ainsi à faire la promotion du nucléaire en général, et de l’EPR en particulier, alors même que la dangerosité de ce réacteur est aujourd’hui démontrée. Il faut donc abandonner immédiatement la construction de l’EPR en Finlande, en France et en Chine, et annuler impérativement le projet prévu à Penly. Le meilleur moyen d'éviter l'accident nucléaire reste la sortie du nucléaire.

Pour plus de détails, consultez les documents confidentiels révélés par le Réseau "Sortir du nucléaire", divulgués par une source anonyme interne à EDF, téléchargeables sur le site : www.sortirdunucleaire.org

Sarkozy envisage de suspendre les mesures du Grenelle de l’environnement

Sarkozy envisage de suspendre les mesures du Grenelle de l'environnement. Que nos sols reposent en paix.
L’environnement, "ça commence à bien faire" !
“Je crois à une agriculture durable... d’ailleurs les agriculteurs seraient les premières victimes des pesticides mais il faut que nous changions notre méthode de mise en œuvre des mesures environnementales en agriculture...”.
Le président a cédé aux sirènes du FNSEA, et envisage de suspendre les mesures du Grenelle de l'environnement. C'est le faire-part de l'enterrement de 1ère classe du Grenelle 2.
De larges pans de l'industrie, dont des entreprises qui émettent fortement du co2, sont déjà exonérées de taxe carbone. C'est au tour de l'agriculture "raisonnée" de bénéficier des largesses dus président : il a demandé aux deux ministres, Bruno Le Maire et Jean-Louis Borloo, de tenir, “dès la semaine prochaine, un premier groupe de travail autour d’une nouvelle méthode d’analyse des mesures environnementales en agriculture.”
Les mesures concernées :
  • Promouvoir l’agriculture biologique, dont la surface agricole utile devrait atteindre 6% en 2012 et 20% en 2020. Le crédit d’impôt en faveur du bio sera doublé en 2009 pour favoriser la conversion des exploitations.
  • Développer une démarche de certification environnementale des exploitations, dont la moitié devront y être engagées en 2012.
  • Généraliser des pratiques agricoles durables et productives. L’objectif est de réduire de moitié l’utilisation les produits phytopharmaceutiques en dix ans et d’interdire leur épandage aérien.
Les derniers payeurs resteront les particuliers, qui eux sont désorganisés, n'ont pas de gros tracteurs pour bloquer les préfectures, et finalement n'ont qu'un moyen de se faire entendre : leur bulletin de vote.
Que nos sols reposent en paix...

L’orientation des filles en Haute-Normandie : les inégalités persistent

L'orientation des filles en Haute-Normandie : les inégalités persistent
Les chiffres publiés par le Rectorat de Rouen en décembre 2009 montrent que les inégalités persistent dans la situation des filles et des garçons à l'école et, au-delà, dans leur insertion professionnelle.
Merci à Céline Daniel (SAIO), Hugues Demoulin (SAIO) et Elsa Dupont (SPréSER) qui ont rédigé cette précieuse et très précise note d'information, unique en son genre en France (peut-être parce que notre académie accuse justement un retard lié... au genre ?) :
"Les différences et les inégalités de genre constatées dans l'académie de Rouen sont de même nature que celles observées sur l'ensemble du territoire. Cependant, il ressort de plusieurs comparaisons que les écarts filles/garçons sont plus marqués dans notre académie, et ce tout au long de la scolarité."
De la Grande section à l'insertion professionnelle, consultez tous les chiffres liés au genre dans la région Haute-Normandie.
Quelles actions mettre en œuvre pour faire évoluer les stéréotypes et favoriser l'accès de tous et toutes à l'ensemble des formations et des métiers ?

Claude Allègre est écologico-positif

Le dimanche 28 février, la nature nous a lancé un message d’alerte. Xinthia a dévasté les régions littorales atlantiques, ravageant dramatiquement la Charente-Maritime, la Vendée, et les Côtes-d’Armor, et laissant nombre d’habitants dans la peine et la douleur.
Pourtant, une onde de joie et d’espoir a illuminé ce sombre dimanche : Monsieur Claude Allègre lançait, dans la joie, son réquisitoire dans la dernière émission hebdomadaire politique du paf, c politique. Il dénonce l’imposture climatique, la fausse écologie, et l’Europe : « Il faut s’occuper des vrais problèmes et non des problèmes mythiques. On fait peur aux gens, mais on doit s’occuper des sujets d’espoir, et non pas des sujets de désespérance… »
Petite (dé)charge contre les écolos d’abord : Ils sont tristes, ils font peur, ils sont imbéciles.
Lui est joyeux.
Tiens c’est marrant ça, ça se voit pas ! Encore plus curieux : l’auditoire, au lieu de se fendre la pêche, à l’air de se contenir. Sûrement pour éviter de se faire pipi dessus à force de rire. Alors pas l’ombre d’un sourire, bravo le self-control ! Ou alors ce sont des écolos, et c’est pour ça qu’ils ne rient pas. Ou alors… Peut-être que pour Claude Allègre (ah de la joie encore), les personnes dans le public sont écolos, et les écolos sont tristes quand ils le voient. Tristes ou peinés. Et si ça se trouve, le public n’est pas écolo ? Alors peut-être l’allégresse est moins communicative que notre ce joyeux lutin ne le croit…
En tous cas c’est parti pour une heure de poilade ! Youpi !!!
clic-clic-clic- hourrah !!!

Violence à l’école !

Violence à l’école !

Une fois de plus le sensationnel va remplacer le fond. En se cachant derrière ce problème le gouvernement efface d’un revers de main les problèmes récurrents de notre système éducatif.

Petit rappel : depuis le début des années 2000 la stratégie éducative ne se place plus au niveau de l’humain (élèves, parents d’élèves, professeurs et personnels administratifs) mais seulement à une vision comptable de fonctionnement. Cette vision a supprimé plusieurs dizaines de milliers de postes d’enseignants, supprimé progressivement la fonction de surveillant fait disparaître du personnel ATOS, bref diminuée le nombre d’adulte dans les établissements.

Pour moi la plus grande des conséquences est la disparition de l’esprit d’équipe qui existait dans les établissements. On ne parle plus de l’individu élève et de pourquoi il poursuit des études, mais du flux de lycéens qu’il faut emmener jusqu’au bac.

Alors quand dans les médias seul le taux de réussite au bac traduit la politique éducative, il ne faut pas s’étonner que la violence soit la réponse faite par des adolescents en situation d’échec.

Comment faire ressortir son mal-être quand on n'est pas dans la norme (le trop funeste 80% d’une classe d’âge au bac) ?

Comment faire partager son incompréhension d’un code si le personnel enseignant se réduit a un gestionnaire de flux ?

Comment découvrir ses motivations et ses interrogations quand l’anonymat devient le mode de fonctionnement de nos établissements ?

Bien d’autres questions se posent, et la réponse actuelle basée sur la répression est bien simpliste et sert à servir la soupe à ceux qui pensent que la concurrence et le bâtons sont les seules mamelles de l’éducation. Une autre vision de l’éducation basée sur la prévention et la remise au centre du système éducatif de l’humain est possible, le conseil régional dans ses compétences en a les moyens et je ne peux que vous conseiller de regarder la vidéo de Philippe Meirieu.

Marche pour l’emploi mercredi 10 mars à 17h, d’Igoville à Pont de l’Arche

A l’appel du collectif pour le maintien et le développement de l’emploi chez M-real CGT, CFE/CGC, NPA, PCF, PS, les VERTS.

Chez M-real, la lutte est engagée contre la volonté des actionnaires finlandais de mettre 106 d’entre nous à la porte, en liquidant définitivement l’usine de pâte à papier, ce qui entraînerait très vite la disparition de l’unité de production de papier et la fermeture du site avec le licenciement de ses 412 salariés.

NOTRE LUTTE AVEC VOTRE SOUTIEN DONNE DES RESULTATS :

Nos grèves, nos manifestations à l’intérieur et à l’extérieur de l’usine ont déjà permis de repousser les délais de mise en œuvre du Plan Social, d’obtenir une expertise indépendante sous le contrôle des syndicats, financée par le Département et la Région sur l’étude de nos solutions pour le redémarrage (entre autres la production d’électricité verte pour la chaudière et de bioéthanol pour l’usine de pâte).

POUR L’INTERDICTION DES LICENCIEMENTS CHEZ M-real, POUR LA DEFENSE DE L’EMPLOI DE TOUTES ET TOUS

Rien que dans notre secteur, la liste s’allonge : après Bosch, c’est au tour de Marco, chez Sealynx la dégringolade continue, et dans de multiples entreprises comme Portafeu, Dosapro, ça n’arrête pas…

Salariés du privé, du public, intérimaires, chômeurs, commerçants, artisans, retraités, familles, étudiants, lycéens, militants associatifs, partis politiques, élus…

Rejoignez cette MARCHE POUR L’EMPLOI,
TOUS ENSEMBLE, METTONS-NOUS DEBOUT
TOUS ENSEMBLE, METTONS NOUS EN MARCHE

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