Archives de 2009

Festival Migrant’scène les 27 et 28 novembre 2009 à la Maison du Plateau à Rouen

Portons un regard nouveau sur les migrants et les migrations.
Comme chaque année depuis plusieurs années déjà la Cimade organise sur toute la France une quinzaine Migrant'scène. Cette quinzaine s'appuie sur des productions artistiques pour nous rappeler l'importance de la présence des "autres", les migrants.
Avec le festival Migrant'scène, la Cimade se fixe comme objectif de porter un regard nouveau sur les migrants et les migrations, pour faire évoluer les représentations collectives sur les étrangers. Ce festival le fait avec une logique plurielle, qui métisse les disciplines, en lien avec le secteur culturel, qui, plus qu'un autre bien sûr, porte des valeurs de création, mais aussi de transmission des savoirs et d'émancipation des individus. Il permet une approche sensible, humaine, des migrations.
Cette année, comme l'an dernier, c'est avec FIA que nous organisons ce festival.
Venez nombreux nous rejoindre pour parler autrement des migrants et des migrations. Cette année, ce sont les discriminations auxquelles sont soumis, aujourd'hui, les couples mixtes qui retiendront notre regard.

Menu de la cantine du 9/11 au 13/11

lundi 9 mardi 10 jeudi 12 vendredi 13
  • Concombre vinaigrette
  • tartiflette
  • Cocktail de fruits
  • Terrine de foie
  • Sauté de volaille
  • Ratatouille - riz
  • Fruit de saison
  • Maquereaux à la moutarde
  • Rôti de boeuf
  • Haricots verts
  • Fromage - entremet vanille
  • Macédoine
  • Filet de hoki pané
  • Brocolis - pommes de terre
  • Petits suisses fruités

Terminal méthanier à Antifer : la pétition déposée au Parlement Européen

On peut le lire sur le billet de Claude Taleb, "François AUBER et Vincent GALLO au Parlement Européen avec Hélène FLAUTRE et Estelle GRELIER".
Mercredi 4 novembre, M. François AUBER et M. Vincent GALLO ont remis à la Présidente de la Commission des Pétitions du Parlement Européen la pétition demandant à ce que la digue d'Antifer reste intégrée dans la zone Natura 2000, périmètre retiré par l'Etat afin de favoriser l'implantation par un groupe privé d'un terminal méthanier.
Pour Hélène FLAUTRE, députée européenne, « La protection de la digue d'Antifer ne peut dépendre d'intérêts purement privés au mépris de l'environnement et de la décision des élus locaux. L'Europe ne peut cautionner un tel déni démocratique et doit exiger de la France le plein respect du droit communautaire. »
Estelle GRELIER, Députée européenne et Présidente de la Communauté de Communes de Fécamp, estime qu'il faut maintenant que ce soit au niveau européen que le sort de Saint-Jouin Bruneval se joue : « En tant qu'élue locale, cela fait plusieurs années que je me bats contre ce projet qui est incompatible avec la stratégie de développement de notre territoire et les objectifs européens de réduction des gaz à effets de serre. Le dépôt de cette pétition au Parlement européen marque une étape importante. C'est désormais à ce niveau que nous allons agir ».
Les deux députées de l'eurorégion Nord-Ouest ont invité l'ensemble des parlementaires européens à se mobiliser massivement contre ce projet.
Le même jour, Gaz de Normandie a présenté son projet de port méthanier à Saint-Etienne du Rouvray, à 1OO km du territoire concerné. Sans doute pour éviter la présence des élus locaux. Ces derniers ont pourtant fait le déplacement... lire la suite
Pour les verts, «ce choix ne répond à aucune stratégie européenne d'approvisionnement. D’ailleurs, récemment, l’Etat demandait l’abandon du projet de Méthanier du Verdon à cause de la surcapacité française en approvisionnement en gaz. Ce qui est valable en Aquitaine ne le serait pas en Haute-Normandie ? C'est un pur produit de la libéralisation du secteur de l'énergie qui favorise les opérateurs opportunistes indépendamment des besoins collectifs. Au risque de ruiner les objectifs européens et nationaux de diminution des émissions de gaz à effet de serre.»

Saint-Pierre du Vauvray : commerces et artisans de proximité au coeur de la vie de nos villages

les commerces et artisans de proximité sont au coeur de la vie de nos villages
Nous avons la chance formidable, à Saint-Pierre du Vauvray, d'habiter un village "vivant". C'est un village animé par ses écoles, ses associations, et ses commerces.
Comme dans un corps vivant, tous ces "organes" sont liés. On emmène nos enfants à l'école, on pratique une activité dans le village (musique, football, danse, peinture, judo, gymnastique ou club des Anciens...), et on s'arrête en passant pour acheter du pain, des fruits et de l'épicerie, un peu de viande, un journal, des fleurs.
On va aussi chez le médecin, à la pharmacie ou à la Poste, à la supérette discount. Ou encore prendre rendez-vous chez le coiffeur, s'offrir un moment de détente et de remise en forme au salon de beauté. Des chaussures et du linge de maison de qualité sont également vendus à des prix attractifs à Pallio Store ou chez "Sylvie Thiriez".
Et le dimanche, un petit marché propose des fruits et des légumes, ainsi que des fruits de mer.
De nombreux artisans sont domiciliés sur la commune : électricité, chauffage, peinture, couverture, métallerie, taxis.
Deux cafés et deux restaurants rassemblent aussi des populations variées. Jeunes et moins jeunes se côtoient autour du billard du Bon Accueil ou au Central Bar..
Avenue de la Gare, la Teurgoule est devenue une adresse prisée le midi par de nombreux salariés et retraités qui viennent y faire une pause conviviale..
L'Hostellerie de Saint-Pierre, quant à elle, amène dans le village une population plus citadine, beaucoup d'étrangers aussi, venus chercher un havre de paix dans le cadre privilégié qu'offre la Seine. D'autres enfin préfèrent le camping, et sa vie au grand air.
Alors, bravo, et merci à tous ces acteurs qui font vivre notre village. Vous offrez des services indispensables et si pratiques aux habitants de notre commune et des communes voisines. [...] lire la suite
Continuons à faire vivre nos commerces de proximité, pour ne pas nous joindre demain au choeur du : "Ah ! Dans le temps à Saint-Pierre, il y avait...". Faisons vivre notre village, pour qu'il ne devienne pas l'un de ces villages-dortoirs anonymes où la voiture est reine et où plus personne ne se parle.
Evidemment les commerçants et artisans sont les premiers à y penser. Leurs initiatives sont déjà soutenues par la commune, et doivent l'être encore, plus et mieux. Cela passe bien évidemment aussi par une réflexion et un travail des élus sur l'aménagement du village, et son inscription dans le territoire intercommunal.
  • A-t-on envie de venir passer un moment dans notre village ?
  • Son aménagement le rend-t-il agréable ? Peut-on l'améliorer et comment ?
  • Les atouts du village sont-ils valorisés ? Quelles améliorations pourraient être apportées ?
  • Peut-on améliorer la communication, l'affichage, les enseignes ?
  • Outre les animations déjà existantes (marché de Noël, quinzaine commerciale,...), avez vous des idées pour mieux animer le centre de notre village ?
Donner vos idées, n'hésitez pas à apporter vos remarques en commentaires, nous mettrons notre poids d'élus et de citoyens à les défendre.

menu de la cantine des 5 et 6 novembre : Bonne rentrée !

Fin des vacances... Bonjour tristesse... Même pas : c'est l'occasion de retrouver tous les amis, les copains, les copines, et de se raconter tout ce qu'on a pu faire pendant ce petit bout d'éternité... Youpi !
Pour les instituteurs, ce sera sûrement plus dur, mais il y aura de la joie quand même. Et pour l'équipe de l'école élémentaire, c'est l'arrivée du TBI qui est imminente, soit en fin de semaine, soit en début de semaine prochaine.
Aux enfants, aux enseignants et à toute l'équipe, ainsi qu'aux parents :
Bonne Rentrée !
lundi 2 mardi 3 jeudi 5 vendredi 6
  • Pâté en croûte - cornichons
  • Steack haché haricots verts
  • Pomme cuite - crème anglaise
  • Salade d'endives
  • Oeufs durs à la crème chou fleur, pommes de terre
  • Eclair au chocolat

Elus Seinomarins et Eurois, aidez à sauvegarder notre territoire et notre littoral

Elus Seinomarins et Eurois, aidez à sauvegardez notre territoire et notre littoral
Plus de 200 élus, toutes tendances politiques confondues, se sont rassemblés le samedi 24 octobre à Etretat pour dire publiquement leur opposition au terminal méthanier en projet aux portes de la célèbre station touristique. (lire aussi ici)
Les parlementaires nationaux et européens, les conseillers régionaux et généraux, les maires… ont posé en ce jour les fondements d’un collectif d’élus qui refusent l’implantation d’une zone industrielle et gazière.
« Les porteurs du terminal méthanier méprisent la responsabilité fondamentale des élus en matière d’aménagement du territoire. Et pourtant qui mieux que nous connaît la force et la richesse de notre territoire », expliquent les élus.
Pour le président du département de la Seine-Maritime, Didier Marie, qui a rejoint le collectif «Les élus servent à porter la parole des citoyens. La démocratie est bafouée quand un projet est imposé par la force à des gens qui n’en veulent pas ».
Aujourd'hui, mercredi 4 novembre à 11h, Frédéric de Maneville, 3e président de Gaz de Normandie en 2 ans, et Laurent Castaing, président du GPMH, viendront présenter conjointement le projet de terminal méthanier d’Antifer dans les salons de l’hôtel Novotel, à Saint Etienne du Rouvray. Ils prônent le dialogue à 120 kilomètres des communes concernées.
A cette occasion, le Collectif d’élus, les membres des Associations et les habitants de Saint-Jouin Bruneval seront accueillis par la municipalité de Saint Etienne du Rouvray. Ils tiendront une conférence de presse à 10h 30, au centre socio-culturel Jean Prevost.
Les élus de l’agglomération rouennaise (et de Haute-Normandie) sont invités à rejoindre le collectif et à signer le texte fondateur. A l’issue de la conférence de presse, les opposants à ce projet du passé se rendront à l’hôtel Novotel à 11h.
SI GAZ DE NORMANDIE NE VIENT PAS A NOUS, NOUS ALLONS A LUI (appel du collectif d'élus contre le méthanier aux portes d'Etretat)
Elus, vous qui aimez notre territoire et notre littoral, défendez ce joyau de la Normandie. Allez dire votre opposition à ce projet de terminal méthanier aux portes d'Etretat, et au gazoduc qui traversera le territoire.
Rendez-vous à la conférence de presse à 10h30, au centre socio-culturel Jean Prevost, à Saint-Etienne du Rouvray, ou à l'hôtel Novotel de Saint-Etienne du Rouvray à 11h.
La population haut-normande vous en remerciera durablement.
Contact :
Maria Bergeron, membre du collectif
m.bergeron@st-jouin-bruneval.fr
Site mairie : http//www.st-jouin-bruneval.fr

Un conseil municipal jeune à Saint-Pierre du Vauvray ?

Le conseil municipal jeunes
Il y a quatre mois, Jason, un jeune habitant de notre village, trouvait la mort dans un accident de mini-moto en présence de la gendarmerie. L'émotion et les incidents qui avaient suivis (feux de poubelle, jets de projectiles sur la mairie...) posaient la question de la place laissée aux jeunes dans nos communes (et plus largement dans notre société... Lire l'article Peur des jeunes !). Des conseillers municipaux s'étaient émus de cette situation et lors du conseil municipal de rentrée le 3 septembre dernier, M. Jorge Pinto avait souhaité qu'une réflexion soit menée à ce sujet.
Aujourd'hui, que mettons-nous en place pour les jeunes, et surtout avec les jeunes, dans notre village ?
Rappelons qu'il existe un outil citoyen permettant d'impliquer les jeunes dans la vie de leur village : cet outil, c'est le conseil municipal jeunes. Là encore, c'était l'une de nos promesses de campagne en 2008...

Un conseil municipal jeunes : pour quoi faire ?

Le CMJ vise à impliquer les jeunes, en leur faisant mieux connaître les institutions de leur pays, en leur offrant un espace de parole et d'écoute, en les accompagnant dans la mise en place de projets qu'ils respecteront parce qu'ils les auront construits eux-mêmes. Restaurer le dialogue entre les générations, entre les citoyens et leurs représentants élus, paraît aujourd'hui une nécessité. Mais est-ce une volonté ? Bien évidemment, un tel projet nécessite l'appui et l'assentiment du conseil municipal, ainsi qu'une collaboration avec l'école.
Le CMJ : comment ça marche ?
La coordination d’un Conseil Municipal Jeunes est le plus souvent confiée à un élu.
Les jeunes conseillers travaillent en petits comités, souvent thématiques (environnement/cadre de vie, sports/loisirs), appelés «commissions». Chaque Conseil se rassemble en séance plénière, avec les élus adultes, deux à trois fois par an pour présenter ses projets. Les actions du Conseil (lancement de campagnes de communication contre le racisme ou la toxicomanie, organisation d’expositions, de débats, etc.) sont débattues, chacun exprimant son avis sur l’utilité et la faisabilité du projet.
Le budget de fonctionnement d’un CMJ est pris sur le budget de la commune. Il est composé de deux parties :
  • budget global : frais de fonctionnement et les quelques projets récurrents. Ces frais sont pris en charge par la commune.
  • budget pour projets spécifiques, dont le montant est très variable. Si les projets naissent en cours d’année, ils n’ont pas été inscrits dans le budget primitif et doivent être examinés par le conseil municipal.
  • Pour certains projets de grande ampleur, on peut demander des subventions au Conseil Général ou Régional, ce qui sera fait par l’animateur car il s’agit de monter un dossier assez complexe.
Bien sûr, vous me direz : et si le conseil municipal adulte commençait déjà lui-même par réunir ses commissions et par proposer enfin des projets ?! Certes, ce serait déjà un signe, et un modèle de volonté et d'engagement pour les plus jeunes...

Avec les habitants du littoral, contre le méthanier : Imaginons un autre avenir pour notre région !

Communiqué de presse des Verts de Haute-Normandie :
Avec les habitants du littoral, contre le methanier : Imaginons un autre avenir pour notre region !
La société Gaz de Normandie (Powéo) confirme son intention de construire à Saint-Jouin-de-Bruneval un terminal méthanier destiné à l'importation de 9 milliards de m3 de gaz par an.
Ce choix ne répond à aucune stratégie européenne d'approvisionnement. D’ailleurs, récemment, l’Etat demandait l’abandon du projet de Méthanier du Verdon à cause de la surcapacité française en approvisionnement en gaz. Ce qui est valable en Aquitaine ne le serait pas en Haute-Normandie ?
Ce choix est un pur produit de la libéralisation du secteur de l'énergie qui favorise les opérateurs opportunistes indépendamment des besoins collectifs. Au risque de ruiner les objectifs européens et nationaux de diminution des émissions de gaz à effet de serre. Il ne pourra se réaliser qu'au prix de nouvelles destructions de la flore et de la faune terrestres et marines de la valleuse classée d'Antifer (site classé des falaises d'Etretat) et de la zone Natura 2000 en mer.
Les élections municipales de 2008 et le débat public ont révélé l'opposition massive des habitants et des élus du littoral. Ils imaginent un autre avenir pour leur territoire : un développement touristique raisonnable et un pôle des énergies renouvelables marines en lieu et place du port pétrolier en fin de vie.
L'acharnement à vouloir imposer un tel projet, est un véritable déni démocratique.
Le Port du Havre qui avait il y a 30 ans fait casser la falaise pour construire un port pétrolier dont il reconnaît aujourd'hui qu'il fut une « erreur de stratégie » est de nouveau à la manoeuvre : vendeur du site à l'industriel. Le soutien indéfectible du maire du Havre explique sans doute la chaîne de décisions inexplicables de l'Etat : l'opportun et inique déclassement de la zone marine Natura 2000 signé le 27 mai 2009 par Jean Louis Borloo, Chantal Jouanno et.. Hervé Morin, le classement en « Projet d'Intérêt Général » (PIG!) d'une installation qui amènera plus de pollutions et de mal vivre aux habitants!
La Haute Normandie est gavée d'industries sur productrices d'énergie. Au prix de tous les gaspillages et de la santé des habitants ; une pollution de l'air qui nous met au dernier rang, une surmortalité qui atteint 15% dans la région havraise. Et cela ne nous protège ni du chômage, ni des emplois précaires, ni des bas salaires, plus nombreux qu'ailleurs ! Le combat des habitants et des élus du littoral concerne tous les haut normands désireux de sortir d'un mode de développement non choisi, insoutenable.

La réforme du statut de La Poste arrive lundi en seconde lecture devant le Sénat

La réforme du statut de La Poste arrive lundi en seconde lecture devant le Sénat
«On va leur pourrir la semaine», clame le groupe socialiste.
Nicolas Galepides, représentant du Comité national contre la privatisation de la Poste (CNPP) ajoute : «On sera nuit et jour dans les tribunes pour faire une lecture critique de chaque amendement».
A l'UMP, on veut rester sereins : «Le groupe est mobilisé et très consensuel».
Les groupes sont en ordre de marche pour l'étude d'un texte qui comporte 2 volets :
  • Le premier transpose la directive européenne sur l'ouverture à la concurrence du secteur postal en 2011,
  • le second transforme La Poste, actuellement établissement public industriel et commercial, en société anonyme à capitaux public début 2010.
Le changement de statut permettra de récolter les 2,7 Mds d'€ nécessaires à la modernisation du groupe La Poste. Mais c'est bien le changement de statut qui inquiète la gauche, qui voit dans ce changement de statut, le pré-requis nécessaire à une privatisation, même partielle.
Le groupe socialiste a donc déposé vendredi 620 amendements sur les 26 articles, s'apprête à défendre 3 motions de procédures, et 1 "motion référendaire" qui visera à soumettre le texte à référendum.
Et c'est le ministre de l'économie, Christian Estrosi, qui décoche la première flèche : «Non seulement, il est inscrit dans le texte que La Poste restera 100% publique et que nous mettons les moyens de la moderniser. [...] Mais en plus je vais faire ajouter dans le texte, qu’en application du préambule de la Constitution de 1946, La Poste ne sera pas privatisable». clic-clic pour la suite...

Des voitures, encore des voitures…

des voitures, encore des voitures... crédit photo Photothèque Europe
état des lieux : Le territoire de la communauté d’agglomération Seine-Eure (CASE) a la particularité d’avoir, par jour et par personne, un nombre de 4,12 déplacements, soit le nombre le plus élevé par rapport à des agglomérations identiques. En nombre de déplacements cela représente 235.000 déplacements par jour.
Un deuxième problème s’ajoute : sur l’ensemble des déplacements, 68 % sont réalisés en voiture. Si on se concentre sur les déplacements entre la case et la communauté d’agglomération de Rouen, on trouve 18.117 déplacements, et 7.571 déplacements entre la case et communauté d’agglomération d’Elbeuf. Cela représente un peu plus de 11% de la totalité des déplacements.
Et, dans ce cas, ils sont tous effectués en voiture... Lire la suite [...]
et solutions… :
  • La convention passée entre l’État et la Société de l’Autoroute Paris-Normandie (SAPN) pour la concession de la construction, de l’entretien et de l’exploitation d’autoroutes, dont l’A13 et ses bretelles, prend fin le 31 décembre 2012.
    La solution proposée par Jean-Louis Destans, Président du Conseil Général, lors du débat public d’octobre 2005, de tester la gratuité du péage d’Incarville (écouter l'enregistrement ci-dessous) est vraiment d’actualité. Etant donné le peu de temps restant à la concession, le coût de rachat ne doit plus être élevé.
  • La construction de parking relais favorisant le co-voiturage et le rabattement en bus en plusieurs lieux identifiés (cliquez pour voir la liste [...]).
  • Augmenter le rabattement vers la gare de Val de Reuil, et renforcer la desserte sur cette gare ainsi que sur celles d’Igoville–Alizay, et Saint Pierre du Vauvray.
  • Coordonner les dessertes de bus entre la région, le département et l’agglomération.
  • Mise en place immédiate d’un titre de transport unique incluant tous les modes de transports (vélo location, train, bus et tramway).
Alors changeons notre regard et innovons. Lire la suite [...]

Suivez nous

suivez-moi sur facebooksuivez-moi sur twitterabonnez-vous en RSS