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Le SCoT a été voté. Ni vainqueurs, ni vaincus mais un gagnant : notre territoire !

Le SCoT a été voté. Ni vainqueurs, ni vaincus mais un gagnant : notre territoire !
Ni vainqueurs, ni vaincus mais un gagnant : notre territoire !
Je n’ai pas envie en ce lendemain de vote positif pour le SCoT de crier victoire, ni d'entrer en conflit avec ceux ou celles qui mercredi soir ont exprimé leurs peurs et leur méfiance, justifiant ainsi leur vote négatif. C'est un score serré qui permet au document de passer dans la phase de consultation. Cela renforce mon envie de pédagogie pour ce document.
Au cours de cette soirée, ça m'a fait plaisir de voir autant de monde se questionner sur l’aménagement de notre territoire.
Ce questionnement est désormais ouvert à tous, par le biais de l’enquête publique. C'est une nouvelle étape dans l’élaboration du document.
Je ne peux qu’encourager l’ensemble des habitants de notre territoire à apporter leur pierre à l’édifice. Pour que le gagnant de ce mercredi soir se transforme en un vainqueur, et apporte, aux pied de chez nous, la cohérence et la solidarité dont nous avons besoin.

Le SCot de la CASE arrive à son terme

Le SCot de la CASE arrive à son terme
Le SCoT, et son document d’orientation général que vous pouvez trouver ici, ou encore ici (PDF,16 Mo), arrive a son terme. Mais il n’a jamais fait autant parler de lui.
Lorsque j’ai accepté de devenir président du SCoT, je savais que je ne me ferais pas que des amis. Néanmoins je vais essayer de vous en expliquer la démarche et les attendus en quelques lignes.
La démarche de réalisation de ce document se décompose en 3 phases :
  • Un diagnostic,
  • un projet aménagement de développement durable ( PADD) qui est l’orientation politique du texte,
  • un document d’orientation général, le "DOG", qui donnera l’esprit, par ses recommandations et ses obligations, d’aménagements dans les plans locaux d’urbanisme des différentes communes par ses prescriptions.
Une des forces de cette démarche est la concertation, pour cette raison nous avons organisé dans le cadre du SCoT :
  • 17 groupes de travail (par thématique et par territoire),
  • 13 conseils syndicaux,
  • 3 réunions publiques, accompagnées par trois diffusions de lettre à la population,
  • 3 réunions à destination des personnes publiques associées,
  • sans oublier les nombreux déplacements dans les mairies pour écouter les attentes des différents Conseils Municipaux.
Le SCot de la CASE arrive à son terme
Où en sommes-nous ?
Le mercredi 13 octobre sera proposé au vote l’arrêt de la démarche qui permettra alors de rentrer dans la phase obligatoire de concertation.
Cette concertation durera plusieurs mois.
Par honnêteté, je signale qu’il reste des points d’achoppements, dont les 2 principaux :
  • La ligne ferroviaire Rouen-Evreux,
  • Le nombre de logements à l’hectare sur les parcelles de plus de 1 hectare qui s’ouvriront à l’urbanisation.
La ligne ferroviaire Rouen-Evreux : J’ai bien entendu les remarques et la volonté des élus de la vallée de l’Iton de ne pas indiquer ce projet, mais la cohérence du projet nous impose de tenir compte de tous les projets qui impactent notre territoire. Et ce, même si nous n'en sommes pas les maîtres d’ouvrage (il en va de même pour le projet de la liaison A 28-A13, auquel je ne suis pas favorable. Mais c’est un projet d’Etat).
La densité : Le nombre de 12 logements à l’hectare me semble un bon compromis. Refuser cette option obligera chaque maire à aller motiver seul, devant les services de l’Etat, ses volontés d’extension.
Je me permets de vous rappeler que la lutte contre l’étalement urbain est devenue une priorité nationale, et que les objectifs de densité dans notre département se situent entre 14 et 20 logements à l’hectare.
Pour élargir le débat, deux points positifs, si ce document est approuvé dans quelques mois :
  • Ce document servira de base au travail communautaire : il montre davantage l’intérêt de projets intercommunaux , et associe la population et les élus des petites communes. Cela évitera un repli communal nuisible au développement de notre territoire,
  • Le Scot, dans ces orientations et prescriptions, est en avance sur les autres documents du même ordre. Il nous permettra d’associer les fiches actions de l’agenda 21, d’être mieux entendu par l’Etat et la Région, et nous permettra ainsi, dans cette période de rigueur budgétaire, de recevoir plus facilement des subventions.
Jérôme Bourlet

CASE : les chefs s’affrontent par blogs interposés. Des visions bien différentes de l’avenir de l’agglomération

La CASE, entre Paris, Rouen et Evreux
La CASE est structurée autour d'un axe qui relie Louviers, la bien établie vieille ville (la "cité drapière", aime à écrire Jamet) à Val-de-Reuil, la ville nouvelle - encore trop souvent taxée de ville-dortoir ou de ville ghetto, qui s'en défend, et se bat pour échapper à cette image. L'avenir de la CASE, un bassin de vie et d'emplois pour ses 60.000 habitants, passe par les visions des maires des 2 principales communes de l'agglo : Franck Martin et Marc-Antoine Jamet. Leurs visions semblent bien différenciées. Plutôt qu'une synergie constructive, c'est un affrontement permanent entre les 2 cités qui se jouxtent, et qui, au lieu de se compléter, semblent s'ignorer. Les 27 autres communes de la communauté sont contraintes d'assister comme témoins pris à partie. Faute d'une ligne claire, celles-ci choisissent leurs alliances au gré de leurs intérêts.
Les causes de l'affrontement
La nouvelle bataille qui s'est engagée concerne l'octroi par la CASE d'un prêt gratuit à la commune de Val-de-Reuil. La première flèche a été décochée par Franck Martin le 1er juillet sur son nouveau blog : Val de Reuil en cessation de paiement : la CASE refuse de combler le trou.
Depuis, les 2 élus s'expriment sur le sujet par blogs interposés.
L'inconséquence de la commune de Val-de-Reuil selon Martin
Après avoir publié un billet sur le site de lacaze, Franck Martin a accepté une interview de Caméra diagonale dans l'article : Louviers, duel à la Communauté d'Agglo. Il s'y exprime aussi par voie de commentaire, à la fois pour expliquer son terme de "cessation de paiement", qu'il a utilisé, dit-il, parce qu'"entre la réalité de leur situation et l'enculage de mouches, [il a] choisi, comme toujours, l'expression de la vérité". Et parce que ça aurait été l'expression même utilisée par Marc-Antoine Jamet lors de leur rencontre.
Ensuite, il exprime la solidarité avec la CASE et son personnel, et rejette l'entière faute de l'incident de paiement de VdR sur Marc-Antoine Jamet qui a préféré assurer seul l'intégralité de la gestion financière de l'ANRU. Bien qu'estimant que la CASE n'est pas une vache à lait, et que "les élus ont refusé que Val-de-Reuil se serve de la CASE comme d'un guichet de banque, avec cette avance de trésorerie pure et simple". Franck Martin dit avoir tendu la main à son ancien co-listier, et tenté de faire pencher les votes en faveur de Val-de-Reuil (mais pendant un vote à bulletins secrets).
La faute incombe à la CASE selon Jamet
Evidemment, Marc-Antoine Jamet entend cela d'une tout autre oreille : "la CASE qui gère les subventions de l’ORU de Val-de-Reuil [a] perdu 2 millions d’Euros de FEDER (deux millions !!!) faute de les avoir appelés.”
C'est sur le blog voie-militante que Jamet riposte. Dans un billet qui dénonçait la cabale contre Marc-Antoine Jamet, Denis Szalkowski prend fait et cause pour le maire de Val-de-Reuil. Pour lui, ce piège tendu par Franck Martin à M. Jamet ne servirait qu'à créer un contre-feu, pour étouffer l’annonce du reversement de l’écrêtement de ses indemnités d’élu à sa compagne, et néanmoins maire-adjointe de Louviers.
Mais c'est dans le billet suivant que Marc-Antoine Jamet choisit de répondre par voie de commentaire.
Voici la séquence telle que la décrit le maire de Val-de-Reuil, Marc-Antoine Jamet :
En ce qui concerne la convention ANRU de Val-de-Reuil, la Ville s’est interdit de se tourner vers l’intercommunalité.
Marc-Antoine Jamet a particulièrement insisté auprès de ses services pour qu’ils considèrent cette interdiction de mettre la CASE devant ses responsabilités ou d’imaginer faire appel à sa solidarité, afin d’avoir la paix.
Cette convention a été rédigée pour :
  1. faire retourner à la Ville de Val-de-Reuil sa direction opérationnelle,
  2. éviter que l’ANRU n’annule les crédits de l’opération de Maison-Rouge à Louviers,
  3. ne pas faire perdre la face ceux qui étaient dessaisis.
La CASE qui gère les subventions de l’ORU de Val-de-Reuil a perdu 2 millions d’Euros de FEDER (deux millions !!!) faute de les avoir “appelés”, sa part dans les 90 M€ de l’opération est restée stable (6,7 M€).
La part de la Ville (payée sur son budget) a bondi, passant de 5,7 à 9,3 M€ auxquels on pourrait rajouter le fameux excédent de l’EPV soit un total de 10,5 M€ payés par les contribuables rolivalois. L’effort de la Ville a doublé, est devenu supérieur à celui de la Case, jusqu’à être deux fois plus important.
La commune se désendettera encore de 500.000€ à la fin de l’exercice 2010, passant de 66M€ de dette en 2000 à 44 M€ aujourd’hui,
La ville n'augmente pas les impôts depuis une décennie,
Sa section d’investissements a triplé,
c’est une preuve de bonne santé de ses finances.
LA DEFAILLANCE DE LA CASE
Si la sécurité financière de l’ANRU de Val-de-Reuil est patente, il en va autrement de sa trésorerie.
  1. La Ville de Val-de-Reuil obtient l’autorisation de démarrage d’un chantier par l’ANRU et ses partenaires,
  2. Ceux-ci notifient les crédits qu’ils mettent à disposition de cette opération,
  3. les budgets étant disponibles, la CASE appelle les subventions auprès de la caisse des dépôts, de la région, du département, de l’Europe,
  4. La Ville paye les entreprises (Spie, SCREG, ViaFrance, etc…) et j’ai demandé qu’elle le fasse dans tous les cas de figure,
  5. la CASE restitue à la Ville les subventions versées par les partenaires et qui correspondent à ces paiements.
Les subventions existent. Plus d’un million d’euros dort à la région (comme Vice-Président aux finances à la région, M. Jamet le voit…).
Et pourtant, la CASE ne les appelle pas. Dans l’intervalle la Ville paye les entreprises.
Il y a donc un problème de trésorerie.
Jamet, convaincu que c’était à celui dont c’est la faute de trouver la solution à ce décalage, s’en est entretenu avec le président de la CASE le 18 juin et une formule a été mise au point qui consistait à ce que les deux entités, la collectivité municipale et l’établissement public intercommunal, lèvent une ligne de trésorerie de deux millions d’€ chacun pour combler ce gap estival, pour un coût de 10.000 €.
La délibération présentée par l’adjointe du maire de VdR, Janick Léger a été repoussée par une manoeuvre unissant Mme Véronique Jullien qui mêla sa voix ce soir là à celle de Bernard Leroy.
C’était un piège. Marc-Antoine Jamet est tombé dedans.
Le lendemain le maire de Val-de-Reuil proposait à quatre banques de suppléer la CASE.
L’affaire était réglée. D’autant plus que la Case appelait les subventions.
Effectivement, comme le confirmait Franck Martin le 9 juillet dans son commentaire chez caméra diagonale : "Vdr n'est plus en cessation de paiement, notamment parce que la CASE, en stricte application de la convention, lui a versé cette semaine 1,5 million d'euros".
La crise est donc passée, mais en traînant un nuage de fumée derrière elle...
Une de plus dirons nous, ouf... Ce n'était pas la première, et sûrement pas la dernière.
La fumée ? Le maire de Louviers, conformément à une loi de 1992 qui autorise un élu percevant des sommes cumulées au delà de 8.100 euros par mois à désigner un collègue de son choix pour recevoir le surplus, ait choisi la maire-adjointe, en l'occurrence sa compagne, qui bénéficiera ainsi de 1.425 euros supplémentaires par mois.
"J'ai souhaité être totalement transparent, alors qu'en règle générale les élus prennent des hommes de paille. J'aurais ainsi pu attribuer le surplus à un autre élu qui me l'aurait restitué", se défend Franck Martin à l'AFP. "Avant d'entrer en politique, j'étais cadre supérieur. Si j'étais battu, je n'aurais aucun filet de sécurité, car on ne cotise pas aux assedic. Mettre un peu d'argent de côté, c'est normal".
Il faut être clair : tout le monde s'accorde à dire que tout ceci n'est que très légal et que rien n'est occulté dans cette (non-)affaire. Soit 9.500 € n'est pas une mince rémunération. Mais est-ce un revenu astronomique pour celui qui dirige, apparemment de façon saine, à la fois la ville de Louviers et la CASE (cela représente environ 350 personnes sous sa direction) ? Il ne s'agit pas là d'une mission visant à établir un rapport, si important soit-il pour l'avenir de la France et du monde, mais de diriger une collectivité publique, et de présider aux décisions qui vont assurer le quotidien de tous les habitants de la CASE. Ce n'est pas rien.
La manoeuvre est malhabile, peut sembler choquante à certains, mais Il n'y a pas ici d'argent occulte, pas d'enveloppes qui circulent, pas de rémunération pour des missions ésotériques, rien que du légal, respectant les usages de notre République. Il existe une solution à ce genre d'écarts, et tous le monde semble vouloir y adhérer dans le principe : limiter le cumul des mandats !

Une nouvelle piscine à Louviers pour 2013

Il a fallu modifier les statuts de la CASE pour ajouter une nouvelle compétence : "construction, aménagement, entretien et gestion des nouveaux centres aquatiques".
Une nouvelle piscine à Louviers pour 2013
Lors d'un précédent conseil d'agglomération, le projet de centre aquatique avait divisé les élus, certains se montrant inquiets sur les conséquences sur les autres compétences, la voirie, l'assainissement. Un tiers des élus s'étaient opposés, et l'abstention et l'absentéisme n'avaient pas permis de receuillir les 2/3 des voix nécessaires pour entériner cette modification.
C'est désormais chose faite. Il n'y aura eu que 9 abstentions sur 84 délégués, et la nouvelle compétence est votée. Lire ici
Les travaux de la nouvelle piscine devraient démarrer d'ici 1 an 1/2, pour une ouverture prévue en septembre 2013. C'est la communauté d'agglomération qui financera cet équipement pour un budget de 18 millions d'€.
la Région Haute-Normandie et le Département de l'Eure s'engageront financièrement sur la construction de cet équipement.
Un autre investissement a été prévu : une piscine verra aussi le jour à Pont-de-l'Arche.

La Communauté d’Agglomération Seine Eure mise sur le développement du tourisme fluvial : création d’une Maison des plaisanciers à Poses (27740)

La Maison des plaisanciers en travaux
Notre territoire a la chance d'être traversé par une boucle de la Seine, restée ici magnifiquement sauvage - loin de l'image du fleuve industriel souvent représentée. L'industrie aujourd'hui se porte très mal, ici comme ailleurs. Le fleuve, son chemin de halage, ses paysages de coteaux, représentent un patrimoine naturel dont la valorisation apporterait une véritable plus-value touristique et économique à notre région.
C'est dans ce sens que la CASE a inauguré il y deux ans les trois haltes fluviales qui jalonnent cette portion du fleuve, à Poses, à Saint-Pierre du Vauvray et à Heudebouville.
Aujourd'hui, la valorisation de ces haltes fluviales est à l'œuvre avec la création d'une Maison des Plaisanciers à Poses. A l'avant, une salle d'accueil, d'information et d'exposition donnera sur le paysage magnifique de la Seine. A l'arrière, des sanitaires hommes et femmes (alimentés en eau chaude par 3 panneaux solaires) et un local technique avec laverie assureront le confort des plaisanciers. A l'extérieur, un verger, une aire de jeux et un parking auto et vélo pourront accueillir les amateurs de promenade sur le chemin de halage. Le chantier devrait s'achever fin juin et l'inauguration aura vraisemblablement lieu lors de la désormais traditionnelle Fête de l'Eau du premier weekend de septembre.
Un peu plus loin, à la halte de Saint-Pierre du Vauvray, les plaisanciers peuvent effectuer leur ravitaillement, grâce aux nombreux commerces du bourg. Là aussi, une valorisation des bords de Seine pourrait à la fois attirer les visiteurs dans notre village et, par là-même, dynamiser les commerces.
Vous connaissez le Sentier des Douaniers en Bretagne ? Vous connaissez le mythique GR20 en Corse ? Pourquoi ne pas rêver d'une valorisation équivalente de notre magnifique chemin de halage, qui pourrait mener... jusqu'à Paris !

CASE : Patrick Madroux, rapporteur des budgets, propose de dégager une enveloppe pour les petites communes. Les maires des petites communes ne sont pas entrés dans le débat…

CASE : Patrick Madroux, rapporteur des budgets de la CASE, propose de dégager une enveloppe pour les petites communes. Les maires des petites communes ne sont pas entrées dans le débat. source:paris-normandie
Lors d'une séance du conseil d'agglomération, et en l'absence de Franck Martin, c'est Patrick Madroux qui s'y colle pour présenter le budget principal et les budgets annexes de la CASE.
Selon le Paris-Normandie, les délégués n'ont apporté aucun commentaire à la lecture des chiffres et à leur vote.
Patrick Madroux a aussi voulu faire une suggestion aux délégués. « La Case participe à hauteur de 20 M€ pour les programmes Anru (renouvellement urbain, Ndlr du PN) de Louviers et de Val-De-Reuil. Je propose que l'on dégage aussi une enveloppe pour les petites communes. » Dans la salle, les sourires en forme d'acquiescement ont percé.
Pour le vice-président de la CASE, Patrice Yung, qui présidait cette séance :« Il n'y a pas de parallèle à faire. L'Anru concerne des zones urbaines. »
Etant données les positions des élus de notre commune, on pouvait croire que le débat serait ouvert : Si Bernard Leroy, du Vaudreuil, a estimé que le « débat méritait d'être posé ». il a ajouté « [qu'] il existe des communes où il y a de vrais besoins de réaménagement. Je pense à Léry qui a des logements qui auraient besoin d'être réhabilités. A Saint-Pierre-Du-Vauvray, qui doit refaire son cœur de village. »
Mais selon le Paris-Normandie, les maires des petites communes ne sont pas entrés dans le débat. Et le budget principal de la Case a été adopté à l'unanimité.

Lancement de l’Agenda 21 de l’agglomération Seine-Eure (CASE)

les élus de la communauté d'agglomération Seine-Eure (CASE) ont décidé de placer le développement durable au coeur de ses politiques et de ses projets

Pendant un an, les habitants, les associations, les élus, les entreprises se sont mobilisés pour donner corps à l'Agenda 21 du territoire Seine-Eure. Il est temps de découvrir le résultat de cette large concertation...

L'Agenda 21 appartient à toutes celles et ceux qui lui ont donné et vie et qui vont accompagner son existence...

Voté à l'unanimité par le conseil communautaire du 28 mai 2009, l'Agenda 21 trace une feuille de route pour l'agglomération et les acteurs locaux qui veulent faire du développement durable une réalité sur le terrain.

Ce projet de territoire durable s'est construit petit à petit, grâce à l'implication de chacun, au rythme des enquêtes, réunions et ateliers publics qui ont mobilisé plus de 470 habitants, associations, entrepreneurs, d'avril à décembre 2008.

Cet Agenda 21 résulte ainsi de la participation de très nombreuses parties prenantes : au sein de l'agglomération, sur le territoire ainsi qu'à l'échelle régionale.

Nous sommes invités à venir nombreux à la soirée de lancement de l'Agenda 21 de l'agglomération Seine-Eure prévue le jeudi 10 septembre 2009 à 18 h 30 au Grand Forum à Louviers.

La conférence/débat sera suivie d'un cocktail dînatoire éthique et de la projection du film documentaire "La 11e heure" réalisé par Leila Conners Petersen et Nadia Conners.

Démissions à l’association “Saint-Pierre pour tous”

Au cours de l'assemblée générale du 4 septembre 2009, trois membres du bureau de l'association (et pas des moindres) ont annoncé leur démission : la présidente Ingrid Lasgi, le vice-président Olivier Poncelet et la trésorière Véronique Soetewey. A ce jour, l'association compte encore 89 adhérents.

La trésorière a fait le bilan financier de l'association, avec un solde positif de 1.139,66€.

Les activités de la Saint-Foutin, du Marché de Noël, de la soirée Moules-Frites, du train aux œufs de Pacy-sur-Eure, de la Foire à Tout et du tournoi de pétanque ont été bénéficiaires.

Seul point noir, le solde de la Fête de l'Eau et de la Peinture reste à ce jour négatif, en dépit des 3.500€ de subventions versées par la municipalité. A ce jour, les subventions de la CASE n'ont toujours pas été versées à l'association. Il manquerait encore au dossier les factures de l'assurance et des barnums adressées à la mairie.

Peut-être aussi que le fait que la CASE souhaitait que la Fête de l'eau se déroule en bord de Seine, afin de valoriser la halte fluviale aménagée à grands frais par la communauté d'agglomération, n'aide pas à accélérer la finalisation du projet ?

On ne peut pas reprocher aux membres de l'association quelque faute que ce soit, c'est un projet partagé entre la mairie, maître-d'oeuvre, l'association chargée de la mise en oeuvre (et ils l'ont fait avec coeur !) et les habitants, pour mettre en valeur les atouts de notre beau village.

Lire la suite [...]

Le désherbage chimique reprend à Saint Pierre

environet PJT, le désherbage chimique reprend à Saint Pierre

Nous vous en avons parlé : Le désherbage à la vapeur est testé dans 5 communes de l’Eure, dont Saint-Pierre du Vauvray.

Ce matin pourtant, l'entreprise PHYTO ENVIRONNEMENT, qui oeuvre pour la CASE en assurant le désherbage des voiries, a abandonné l'usage de la vaporisation d’eau chaude pour un équivalent du roundup: l'environet© PJT, un désherbant total non rémanent (destruction totale par action systémique des annuelles, bisannuelles et vivaces).

Vous avez sûrement lu sur le site de la Mairie de Saint-Pierre un billet qui évoque les dangers du Roundup et du glyphosate, notamment lorsqu'il est associé à des adjuvants qui lui permettent de renforcer son action: saintpierreduvauvray.com/jardins-verts-durables/.

Nous avions nous-même consacré un billet à ce sujet : le désherbant est de retour.

Le vaporisateur est en panne pour 15 jours. Le maire d'Andé a donc demandé que, dans l'urgence, le désherbage de sa commune soit fait à la main, en attendant la réparation.

Le maire de Saint-Pierre du Vauvray, lui, a demandé ce matin à la CASE de procéder au désherbage chimique. Lors de l'entretien qu'il a eu avec M. Beauville, celui-ci lui a donné son accord pour les pourtours du stade et de la départementale menant au pont de Saint-Pierre.

Mais nous avons rencontré l'employé de PHYTO ENVIRONNEMENT qui désherbait autour de l'Eglise de Saint-Pierre et rue de l'Eglise, après avoir désherbé chimiquement la gare, à la demande du maire !

Bon, la machine était en panne...

Mais y avait-il urgence à désherber d'une telle façon ? Pas d'urgence à la gare, ni à l'église, ni à la mairie...

On peut être pénibles, je comprends, on voudrait croire aux initiatives modernes, aux méthodes alternatives.
L'environnement est un débat majeur, qui commence dans les toutes petites choses, jusqu'aux plus importantes.

Le désherbage à pulvérisation d'eau chaude, c'était du flan ? Ou bien une vraie opportunité de faire les choses en respectant l'environnement ?

A-t-on la volonté d'agir autrement, en tenant compte de l'environnement et de l'avis de la population ? Ou bien n'est-ce qu'une bonne opération marketing, bien dans l'air du temps ? Je choisis de croire dans la 1ère option. Et heureusement, certaines communes ont le vrai courage de modifier leurs comportements : Le maire de Vernon lance l’opération « zéro pesticide» sur les espaces verts de la ville.

Titres de transport scolaire pour l’année 2009/2010

Cette année, en raison d'un changement de transporteur, les demandes de titres de transport scolaire sont à déposer directement à la Communauté d'Agglomération Seine Eure : Maison Commune, Avenue des Métiers, 27100 Val de Reuil (02 32 50 85 50).

Le service sera ouvert à partir du 10 août, tous les matins de 10h à 12h et les lundi, mardi et jeudi après-midi de 15h à 16h30.

  • Pour les écoliers, le titre "GENERATION PRIMAIRE" est à 38€ / an / élève.
  • Pour les collégiens et lycéens, le titre "GENERATION" est à 60€ / an / élève.
  • Pour les collégiens et lycéens, le titre "GENERATION PLUS" est à 110€ / an / élève : il permet l'aller/retour par jour sur la ligne scolaire, ainsi que l'accès à la totalité du réseau "TRANSBORD" toute l'année, y compris pendant les vacances scolaires.

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