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Cette catégorie contient 48 articles

ZEP : oui à l’excellence pour tous les enfants de la République. A Val de Reuil, et partout en France.

sur les grilles du Rectorat
Ce matin du 12 mars 2010, les professeurs du collège Pierre Mendès France de Val de Reuil (27) étaient ponctuels à l'appel : à 8h30, ils ont répondu présents à l'appel... de la grève ! Ils se sont mobilisés pour protester contre les suppressions de moyens qui touchent de plein fouet leur établissement. Les premiers taux de grévistes.
56 heures d'enseignement en moins, c'est ce qui attend notre établissement à la rentrée prochaine !
Et les conditions d'enseignement continuent se dégrader : toujours plus d'effectifs par classe, avec moins d'enseignants, c'est moins de matières et d'enseignement proposés aux élèves. C'est l'équation que nous propose l'Inspection d'Académie.
Toute l'équipe éducative et les parents d'élèves sont bien décidés à ne pas accepter cet état de fait.
Dès le mois de février, les élus du conseil d'administration ont adressé une motion à M. Moya, l'Inspecteur d'Académie de l'Eure. Une audience est programmée le mercredi 17 mars prochain.
Dès le 12 mars, les professeurs ont voulu exprimer leur inquiétude : ils se sont joints à la journée nationale d'action dans le secondaire. 16.000 postes d'enseignants vont être détruits au cours de l'année 2010. Dans notre établissement, cela représente 4 postes supprimés.
Et ce seront encore les élèves les victimes : moins d'adultes par élèves, moins d'offre d'enseignement (allemand, latin...). Cela favorisera les demandes de dérogations vers d'autres établissements, et limitera les possibilités d'étudier de ceux qui restent.
Il sera aussi impossible de constituer des groupes (1/3 de classe, demi classe ou 2/3 de classe). Les groupes sont pourtant indispensables pour permettre aux élèves les manipulations dans les disciplines scientifiques ou technologiques. Ils sont indispensables aussi pour mettre en place le travail par compétences en langues.
Les profs eux, auront de plus en plus de missions à accomplir, sans qu'on ne leur en donne les moyens (validation du socle commun, du B2I, du niveau A2 en langues, du parcours des métiers, de l'option histoire des arts...)
Nous nous battons pour un meilleur enseignement, pour des élèves mieux formés.
C'est pour cela que nous interpellons les institutions : Notre mission est une mission de service public. Accordons le droit à l'excellence à tous les élèves, quelles que soient leurs origines sociales.

L’orientation des filles en Haute-Normandie : les inégalités persistent

L'orientation des filles en Haute-Normandie : les inégalités persistent
Les chiffres publiés par le Rectorat de Rouen en décembre 2009 montrent que les inégalités persistent dans la situation des filles et des garçons à l'école et, au-delà, dans leur insertion professionnelle.
Merci à Céline Daniel (SAIO), Hugues Demoulin (SAIO) et Elsa Dupont (SPréSER) qui ont rédigé cette précieuse et très précise note d'information, unique en son genre en France (peut-être parce que notre académie accuse justement un retard lié... au genre ?) :
"Les différences et les inégalités de genre constatées dans l'académie de Rouen sont de même nature que celles observées sur l'ensemble du territoire. Cependant, il ressort de plusieurs comparaisons que les écarts filles/garçons sont plus marqués dans notre académie, et ce tout au long de la scolarité."
De la Grande section à l'insertion professionnelle, consultez tous les chiffres liés au genre dans la région Haute-Normandie.
Quelles actions mettre en œuvre pour faire évoluer les stéréotypes et favoriser l'accès de tous et toutes à l'ensemble des formations et des métiers ?

Violence à l’école !

Violence à l’école !

Une fois de plus le sensationnel va remplacer le fond. En se cachant derrière ce problème le gouvernement efface d’un revers de main les problèmes récurrents de notre système éducatif.

Petit rappel : depuis le début des années 2000 la stratégie éducative ne se place plus au niveau de l’humain (élèves, parents d’élèves, professeurs et personnels administratifs) mais seulement à une vision comptable de fonctionnement. Cette vision a supprimé plusieurs dizaines de milliers de postes d’enseignants, supprimé progressivement la fonction de surveillant fait disparaître du personnel ATOS, bref diminuée le nombre d’adulte dans les établissements.

Pour moi la plus grande des conséquences est la disparition de l’esprit d’équipe qui existait dans les établissements. On ne parle plus de l’individu élève et de pourquoi il poursuit des études, mais du flux de lycéens qu’il faut emmener jusqu’au bac.

Alors quand dans les médias seul le taux de réussite au bac traduit la politique éducative, il ne faut pas s’étonner que la violence soit la réponse faite par des adolescents en situation d’échec.

Comment faire ressortir son mal-être quand on n'est pas dans la norme (le trop funeste 80% d’une classe d’âge au bac) ?

Comment faire partager son incompréhension d’un code si le personnel enseignant se réduit a un gestionnaire de flux ?

Comment découvrir ses motivations et ses interrogations quand l’anonymat devient le mode de fonctionnement de nos établissements ?

Bien d’autres questions se posent, et la réponse actuelle basée sur la répression est bien simpliste et sert à servir la soupe à ceux qui pensent que la concurrence et le bâtons sont les seules mamelles de l’éducation. Une autre vision de l’éducation basée sur la prévention et la remise au centre du système éducatif de l’humain est possible, le conseil régional dans ses compétences en a les moyens et je ne peux que vous conseiller de regarder la vidéo de Philippe Meirieu.

Luc Chatel s’oppose à la projection du «Baiser de la lune» en primaire

Le Baiser de la lune
Le 3 février dernier, Luc Châtel, le ministre de l'Education nationale s'est opposé à ce qu'un dessin animé sur le thème de l'homosexualité soit projeté dans des classes de CM1-CM2.
"Le Baiser de la Lune" est un film d'animation poétique qui raconte une histoire d'amour entre un poisson-chat et un poisson-lune.
Une association qui milite contre l'homoparentalité au nom de la «défense de la famille», le Collectif pour l'enfant, avait dénoncé dans un communiqué «une intrusion dans l'intimité de jeunes enfants». La présidente du parti chrétien-démocrate Christine Boutin avait demandé de son côté dans une lettre ouverte au ministre de l'Education «l'interdiction de la diffusion du film» dans les écoles, «au nom du respect de la neutralité de l'Education nationale».
Pourtant, d'après le Collectif éducation, composé des fédérations syndicales enseignantes et des parents d'élèves de la FCPE, la lutte contre l'homophobie et les discriminations doit commencer «dès l'école primaire», car «tout montre que c'est très tôt, avant que les stéréotypes et les comportements discriminatoires soient intériorisés, qu'il faut agir».
Cliquez pour voir la bande-annonce du dessin animé et lire notre avis.

La semaine de 4 jours est préjudiciable à la santé des enfants

La semaine des 4 jours est préjudiciable à la santé des enfants
C'est ce que nous dit l'Académie de Médecine. Son rapport vient d’être rendu public, et les Académiciens nous demandent de modifier complètement le temps scolaire, afin de les adpater aux rythmes biologiques et aux capacités d’apprentissage des enfants. Lire le rapport sur l'aménagement du temps scolaire et santé de l’enfant
Un autre rapport, émanant du ministère de l'éducation nationale, affirme que "les inconvénients se confirment". Les conséquences du resserrement du temps scolaire se font sentir sur la fatigue des élèves et des enseignants, sur la réduction du temps de dialogue avec les parents, sur le temps de concertation des enseignants, et surtout, sur le temps consacré aux enseignements !
Pour rappel, la situation actuelle : "A partir de la rentrée scolaire 2008, la durée de la semaine scolaire des écoles maternelles et élémentaires est fixée à 24 heures d’enseignement scolaire pour tous les élèves, ces 24 heures étant organisées à raison de 6 heures par jour les lundi, mardi, jeudi et vendredi."
Le rapport de l'Académie Nationale de Médecine est sans ambiguïté : la semaine de 4 jours EST préjudiciable à la santé des enfants. Dès lors, elle ne permet pas les conditions nécessaires à une bonne acquisition des connaissances, et l'éducation nationale remplit moins bien son rôle, l'échec scolaire est au bout de ce non-sens. "La qualité des résultats scolaires de l’enfant fatigué s’en ressent et peut aller jusqu’à l’échec scolaire si les adultes en charge de l’enfant (parents, enseignants, médecin) ne sont pas en mesure d’en neutraliser les raisons en améliorant la qualité de vie des enfants concernés."
Si le constat d'échec est avéré, tout le monde semble freiner des 4 fers pour ne pas revenir à une situation normale, favorable au confort, à la santé, et à l'éducation de nos enfants. Nous privilégions le confort des adultes au détriment de la qualité de la vie et de l'éducation de nos enfants ! Notre société est-elle devenue à ce point égoïste pour ne pas privilégier le sort des enfants ?

Luc Chatel a ses solutions pour remplacer les professeurs : faire appel au pôle emploi et aux étudiants

Sur les 5 millions de fonctionnaires appelés à faire grève contre les suppressions de postes, le corps enseignant est particulièrement touché, avec 45 000 suppressions de postes d'enseignants, et leur cortège de conséquences : classes de plus en plus surchargées, options supprimées, et bien sûr des remplacements de moins en moins effectués. Sur Europe 1, leur ministre, Luc Chatel, se prononce pour des solutions concernant ces remplacements... Les avis sur leur efficacité risquent de ne pas être partagés par tous !
A la question posée par le Parisien sur les remplacements à l'Education Nationale (pourquoi les profs absents sont-il si peu et si mal remplacés ?), Luc Chatel a "sans doute" une solution :
"Le système de remplacement dans l'éducation nationale fonctionne mal, est mal organisé, il n'est pas assez souple, il n'est pas assez réactif. [...] J'ai décidé de m'atteler à la tâche. [...] Il faut un système de remplacement des professeurs qui soit plus réactif [...], améliorer le système de remplacements des professeurs par 3 moyens : lire la suite
carte des académies - www.education.gouv.fr
Luc Chatel, ministre de l'éducation nationale, nous propose SA solution au problème du (non-)remplacement des professeurs, un problème dû sûrement aux suppressions de dizaines de milliers de postes à l'éducation nationale. Sa politique tient en 3 points :
1 - Réactivité, réactivité, réactivité, c'est le mot d'ordre asséné, affirmé. Dès le 1er jour, les autorités académiques devront être mobilisées. Que ne l'ont-elles été jusqu'à lors ? Et surtout, pour que ce mot d'ordre ne relève pas que de la méthode coué, ou du vœu pieux, quels seront les moyens mis en œuvre pour redresser une situation qui ne cesse de s'aggraver ?
2 - Assouplir le système de remplacement, actuellement géré par académies (clic clic sur la carte ci-contre) en permettant l'affectation de personnels d'académies voisines. Cela nécessitera sûrement de (longues ?) négociations, de chambouler les méthodes de travail, d'adapter les logiciels etc, etc. Mais pourquoi pas si cela permet d'améliorer la situation ? Mais respectera-t-on le rôle, la mission et les conditions de travail des professeurs ? Car cette revalorisation des enseignants que le ministre appelle de ses vœux passe aussi par la reconnaissance de la mission des professeurs, la reconnaissance de leurs compétences, et bien sûr des conditions dans lesquelles s'effectue leur mission. Cela conditionne évidemment l'accomplissement de leurs missions, de la meilleure façon possible.
L'exemple pris d'un professeur de Créteil qui serait affecté à Paris n'est pas représentatif des académies du reste de la France. Là où les distances s'expriment en dizaines de kilomètres, on peut traverser la moitié du pays pour traverser les académies de Montpellier à Clermont-Ferrand, de celle de Clermont à celle de Tours, ou de celle de Tours à celle de Rouen. Les échelles ne sont pas les mêmes. Dossier à suivre...
3 - Enfin, pour son troisième point - faire appel au pôle emploi et aux étudiants, ainsi qu'aux retraités de l'éducation nationale, pour remplacer les professeurs, voilà qui peut passer pour un véritable camouflet pour les enseignants, les élèves et les parents. Ainsi que pour les citoyens pour qui la citoyenneté passe aussi par l'éducation de ces jeunes citoyens. La capacité à faire appel à des retraités de l'éducation nationale, cela a-t-il été modélisé ? Des sondages ont-ils été effectué pour évaluer le potentiel de population concernée ? Ou n'est-ce mis en valeur que pour cautionner la "diversification et la richesse" de ce nouveau système de remplacement.
Notre pays a besoin de jeunes toujours mieux formés, qui devront s'insérer dans une société de plus en plus tournée vers les services et la technologie, et où les compétences et la formation sont des facteurs de plus en plus importants pour l'insertion et la réussite professionnelle et sociale.
Les professeurs, à qui est largement dévolue cette mission d'éduquer notre jeunesse, et qui ont la confiance des parents et d'une large majorité de nos concitoyens, sont-ils voués à être remplacés par des chômeurs et des étudiants ? N'y voyez pas une quelconque opprobre à l'endroit des chômeurs ou des étudiants, mais le métier d'enseignant exige des compétences propres, et de l'expérience. C'est pour acquérir cette expérience qu'au sortir de leurs études, les enseignants effectuent une année de stage accompagné.
Pour que l'éducation nationale puisse rendre ce service à la hauteur des attentes, il faut qu'elle puisse offrir l'éducation à laquelle chaque élève a droit, et non remplir une simple mission de gardiennage, ou pire, de mauvaises expériences éducatives qui pourraient conduire à des échecs scolaires.
Nous comprenons que le but de ne pas remplacer 1 professeur sur 2 lors de ces départs massifs à la retraite permettra des gains budgétaires très importants. Mais à quel prix ?
Etes vous prêts à confier l'éducation et l'avenir de vos enfants à pôle emploi ou à des étudiants ?

Un cas de grippe A à l’école élémentaire de Saint-Pierre du Vauvray

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Un cas de grippe A a été signalé à l'école élémentaire de Saint-Pierre du Vauvray.

Notre petit malade est dans la classe de Mme Roult, en CE1/CE2.

Nous lui souhaitons un prompt rétablissement.

Elections dans les écoles de Saint-Pierre du Vauvray le 16 octobre

election
Les parents d'élèves pourront voter vendredi 16 octobre pour élire leurs représentants. Le rôle de la représentation des parents d’élèves est important, notamment quant à l’animation de la vie de l’école, et aussi lors des conseils d’école (il y en a 3 par an).
Les parents sont partenaires à part entière du système éducatif : ils ont le droit à l’écoute, au dialogue, à l’égale valeur des paroles des uns et des autres, le droit au désaccord et à la confrontation.
Dans ces rencontres tripartites que sont les conseils d’école, les représentants des parents d’élèves défendent leurs droits et ceux de leurs enfants.
A l'école maternelle Jean Récher, l'élection se déroulera le 16 octobre, et plusieurs créneaux ont été retenus sur la journée pour facilité la présence des parents : 8h-9h, 11h-13h, et 16h-17h.
A l'école élémentaire des Coteaux, ce sera aussi le 16 octobre, de 8h à 9h, et de 16h à 18h.
Venez nombreux pour voter, et si vous ne pouvez pas vous y rendre, n'oubliez pas que vous pouvez voter par correspondance.

La grippe A dans les écoles de Saint-Pierre du Vauvray ?

l'école en pyjama, avec ou sans fièvre - par Martin Vidberg ©

Un enfant de l'école maternelle, et un enfant de l'école élémentaire de Saint-Pierre du Vauvray se trouvent en état grippal. En maternelle, un enfant qui se trouve en état fiévreux a été confié aux soins de ses parents.

Etant donné que l'épidémie de grippe A est officiellement déclarée, et que celle-ci progresse très vite, il y a de grandes chances que le virus H1N1 circule dans les écoles, comme un peu partout d'ailleurs. Il faudra attendre le retour des tests pour le confirmer. Lire la suite

Réunion d’information à l’école maternelle Jean Récher de Saint-Pierre du Vauvray

Réunion d'information à l'école maternelle Jean Récher de Saint-Pierre du Vauvray

Les parents d'élèves ont été invités vendredi soir à l'école maternelle de Saint-Pierre du Vauvray.

Tout d'abord, nous avons rencontré madame Christine Despeyroux, qui est la nouvelle directrice de l'école maternelle. Elle est ravie de son nouveau poste.

LA GRIPPE A/H1N1 :

Après les présentations, un rappel a été fait sur les mesures de prévention concernant l'épidémie de grippe A.

Il faudra ainsi éviter dans la mesure du possible les bisous et les câlins, aussi douloureuse que soit cette mesure, pour les enfants comme pour l'équipe pédagogique. D'autres gestes de précaution sont mis en place, [...] lire la suite....

Les élections des représentants des parents d'élèves :

Nous avons évoqué ensuite les élections des représentants des parents d'élèves. Celles-ci auront lieu le 16 octobre 2009, entre 16 h et 19h.

Les parents pourront voter sur place, ou bien adresser leurs bulletins par correspondance : Ecole maternelle, 30 r Gourdon 27430 SAINT PIERRE DU VAUVRAY.

Je rappelle le rôle très important de la représentation des parents d'élèves, notamment quant à l'animation de la vie de l'école, et aussi lors des conseils d'école (3 par an).

Les parents sont partenaires à part entière du système éducatif : ils ont le droit à l’écoute, au dialogue, à l’égale valeur des paroles des uns et des autres, le droit au désaccord et à la confrontation. [...] lire la suite...

Le 16 octobre, votez pour les représentants de tous les parents d'élèves. C'est la garantie d'une bonne année scolaire pour tous, et donc d'un meilleur parcours scolaire pour chacun de vos enfants.

Le projet photos :

Lors de cette réunion, la nouvelle directrice nous a présenté le projet photos de l'école.

Des photos des enfants seront prises au cours de leur vie scolaire.

Les parents pourront alors participer à une partie de la vie de leurs enfants qui leur est "inaccessible". C'est l'occasion d'avoir un souvenir de son enfant, et surtout c'est une possibilité de partager la vie de l'école de l'enfant, et de l'évoquer avec lui, afin qu'il vous fasse partager ce petit bout de vie, en compagnie de ses copains et copines. [...] lire la suite....

Internet, informatique et bibliothèque :

Les derniers points abordés lors de cette réunion concernent l'informatique et la bibliothèque.

L'école maternelle ne dispose plus de matériel informatique, et encore moins d'un accès internet.

Or pour les échanges avec les parents, un accès internet est indispensable.

Pour l'instant, la mairie ne paye pas d'abonnement internet à l'école. [...] lire la suite.....

Appel aux parents :

Un appel est également fait aux parents pour aider à mettre en réseau les matériels informatiques à usage pédagogique (dons des parents), à donner du matériel (ndlr : si vous disposez de matériel en bon état, et non vétuste).

Pour ceux qui n'ont pas de connaissances informatiques, une aide serait bienvenue pour aider à la bibliothèque.

Cela demandera un peu de temps le samedi matin, et ce sera l'occasion de rencontrer les enseignants et les autres parents sous un autre jour que celui de l'accompagnement des enfants à l'école... lire la suite....

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