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Cette catégorie contient 112 articles

Vendredi 25 mai 2012 à Val de Reuil, à 20h au cinéma Les Arcades : La malbouffe n’est pas une fatalité (soirée autour du film “Fast Food Nation”)

Don Henderson a un vrai problème. Il est responsable marketing de la chaîne des Mickey's Fast Food Restaurants, et de la viande contaminée a été découverte dans les stocks de steaks surgelés du fameux Big One, le hamburger vedette de la marque. Quittant ses confortables bureaux de Californie du Sud, il va découvrir les abattoirs et leurs employés immigrés, les élevages surpeuplés et les centres commerciaux de l'Amérique profonde et que ce sont les consommateurs qui se font bouffer par l'industrie du fast food et non l'inverse !
Avec :

Mercredi 23 mai 2012 à Louviers : Remettre l’économie au service de l’humain, avec l’Economie sociale et solidaire

Salle Pierre Mendès France (mairie) de 18h30 à 20h30. Avec :
  • Claude TALEB, Vice-président EELV de la Région Haute-Normandie, chargé de l'économie sociale et solidaire, de l'économie des territoires (agriculture, pêche, tourisme, forêt), et de la coopération Nord Sud
  • Denis LANGLOIS, Président de l'Aneth, fondateur de l'Ecaux-centre
  • Laetitia SANCHEZ, candidate aux élections législatives pour Europe Ecologie Les Verts sur la 4ème circonscription de l’Eure.

Jeudi 10 mai 2012 à Louviers : la rénovation thermique, c’est bon pour le porte-monnaie, c’est bon pour l’emploi, c’est bon pour la planète

Au café "Couleur K’fé" de 18h30 à 20h30 (23 rue du Général de Gaulle). Venez débattre avec nous et participer à la réflexion sur la transition écologique.
Avec Pascal Séjourné, architecte bioclimatique.
La démarche écologique dans l’architecture et la rénovation, c’est :
  • Valoriser les apports bioclimatiques,
  • Rechercher des matériaux à faible nuisance environnementale,
  • Maîtriser la demande en énergie,
  • Construire avec un faible niveau d'énergie incorporée,
  • Avec une exposition la plus faible possible des occupants aux polluants chimiques,
  • Avec des bâtiments entièrement réutilisables ou recyclables à la fin du cycle de vie.
Avec Laetitia SANCHEZ, candidate aux élections législatives pour Europe Ecologie Les Verts sur la 4ème circonscription de l’Eure.

Urgence climatique, urgence économique : les solutions de l’écologie, par Denis Baupin et Pascal Canfin, à Vernon le 12 avril 2012

Sécheresse en Europe et en Afrique, pollution de l'air et de l'eau, abeilles décimées : tous ces signaux d'alerte mettent en évidence une crise écologique qui s'aggrave. Le changement climatique est incontestable, ses conséquences s'aggravent, et s'aggraveront encore si on ne change pas nos pratiques. Les ressources s'épuisent, mais là encore, on voudrait ne rien changer. C'est pourtant maintenant qu'il faudrait nous préparer, anticiper, agir.
Notre économie financiarisée, incontrôlée, continue d'épuiser ces ressources, et les hommes. Un proverbe indien dit : "Quand le dernier arbre sera abattu, la dernière rivière empoisonnée, le dernier poisson pêché, alors vous découvrirez que l'argent ne se mange pas". Ne vous inquiétez pas, il n'y aura même plus d'argent à manger pour la plupart d'entre nous... si l'on continue à créer des crises financières qui habillent quelques heureux élus, mais déshabillent Pierre, Paul, Jacques, Corinne, Brahim, et tous les autres.
Crise écologique, crise économique, crise sociale. Beaucoup veulent séparer ces crises. Comme si chacune avait ses solutions propres. Comme si l'on pouvait reporter les solutions aux enjeux environnementaux et climatiques à plus tard. Ou qu'il faille d'abord remettre l'économie d'aplomb, avant que de s'occuper des questions sociales.
Il s'agit en réalité d'une même crise : celle de notre modèle de développement.
Tant en matière d'économie, que d'écologie ou de justice sociale, il faudra faire preuve de volonté et de courage politique. Il faudra remettre des règles qui empêchent que, pour le profit de quelques grandes multinationales, on oblitère l'avenir commun de l'humanité. Pour cela, l'Europe sera le premier échelon pertinent.
C'est ce que démontrent les écologistes Denis Baupin et Pascal Canfin.
Denis Baupin est maire-adjoint de Paris depuis 2001, chargé des Transports et du Plan climat, fondateur de l'association Agir Pour l'Environnement, président entre 2004 et 2008 du Club des Villes Cyclables, vice-président du réseau Énergie-Cités depuis 2009, président de l'Agence Parisienne du Climat depuis 2010.
Pascal Canfin est député européen, membre des commissions "Affaires économiques et monétaires" et "Marché intérieur et protection des consommateurs" ; co-fondateur de l'ONG "Finance Watch" contre les lobbys bancaires ; conseiller économique d'Eva Joly.
Tous deux portent un discours basé sur l'expérience et l'action, et prouvent que l'écologie apporte une réponse globale aux crises qui ruinent notre système.
Venez participer au débat organisé le jeudi 12 avril 2012 à Vernon, à 20h à l'Espace Philippe Auguste, 12 avenue Victor Hugo.

Samedi 31 mars, dimanche 1er avril : un week end d’actions solidaires et conviviales à Saint Pierre du Vauvray (27430)

Commencez par une balade en famille sur les berges de la Seine pour un grand nettoyage de printemps : rendez-vous à 9h samedi matin, sur le stade de football de Saint Pierre. Pensez à équiper toute la famille de gants, de bonnes chaussures et de sacs !
Continuez en vous cultivant à la Foire aux livres d'Amnesty International : samedi après-midi (14h-18h) au lycée Marc Bloch de Val de Reuil.
Et dimanche, c'est la foire aux livres et aux vieux papiers de l'école de Saint Pierre du Vauvray (salle des fêtes), qui permettra des sorties culturelles à moindre coût pour les enfants du village.
Bon week end à tous !

Mardi 20 mars 2012 à Vernon : “Avenir radieux, une fission française”, un spectacle de Nicolas Lambert

Un an après la catastrophe de Fukushima, la question du nucléaire se pose partout, dans le monde, en Europe, tout autour de nous, en Belgique, en Suisse, en Espagne, en Italie, en Allemagne... Et en France ? Fukushima, ça vous a choqué ? Choqué... dans quel sens ?
A 20 h 30, à l'Espace Philippe Auguste de Vernon, venez découvrir le nouveau spectacle de Nicolas Lambert. Après "Elf, la pompe Afrique" consacré au pétrole et à la politique néo-coloniale de la France, « Avenir Radieux, une fission française » est le deuxième volet de la trilogie BLEU - BLANC - ROUGE de Nicolas Lambert, consacrée à «l’a-démocratie» française du point de vue de ses grandes sources de richesse : le pétrole, le nucléaire, l'armement... Il s’agit ici d’explorer le discours officiel du pouvoir, et la confiscation de la possibilité de débattre.
2010 : la Commission Nationale du Débat Public organise une série de débats sur l'utilité et les modalités de la construction d'une deuxième centrale nucléaire de type EPR en France, sur le site de Penly. A partir des interrogations des rares citoyens présents, à partir des discours verrouillés d’EDF et de l’industrie nucléaire française en général, à partir du silence du donneur d’ordres, le spectacle remonte un fil de l’histoire du nucléaire français, ses ors républicains, ses non-dits étouffants.

Le jeudi 9 février, Cécile Duflot dans l’Eure et en Seine-Maritime pour défendre la Seine, patrimoine naturel

Dans le cadre de la campagne présidentielle, Cécile Duflot fait une "tournée générale" des régions et sera en Haute-Normandie le jeudi 9 février.
Le thème de sa visite est : "la Seine, patrimoine naturel".
Deux sites naturels emblématiques de notre région seront visités dans ce cadre :
Au rebours des discours promouvant "l'axe Seine" comme couloir logistique de Paris, nous voulons rappeler que la Seine est un fleuve vivant.
Ses coteaux, ses boucles et son estuaire sont un patrimoine unique, pour ses riverains, pour les touristes, pour l'image de notre région entre fleuve et mer (la "Seine maritime"). Ces espaces naturels abritent en outre une faune et une flore parfois uniques au monde - qu'on pense à la Violette de Rouen des coteaux calcaires, ou encore à la très ancienne Biscutelle de Neustrie.
En complément des visites d'Eva Joly sur le thème de la conversion industrielle en février (à Pétroplus et à M-Real), nous voulons soutenir qu'un autre modèle de développement est possible, plus respectueux des hommes dans leur environnement.

Le 23 janvier 2012 à Rouen : présentation des résultats de l’expertise complémentaire sur la LNPN demandée par le groupe EELV

Une réunion publique supplémentaire se tiendra à Rouen le 23 janvier (Halle aux Toiles, 19h-22h).
Suite à la proposition conjointe des groupes EELV d'Ile de France, de Basse et de Haute Normandie, la Commission nationale a accepté le principe d’études alternatives d’infrastructures. Cette étude confiée au cabinet BG, porte sur les améliorations qui peuvent être apportées au réseau actuel à l'ouest de Mantes-la-Jolie et sur le potentiel de la ligne ainsi rénovée.
Il s'agit d’évaluer l’évolution de la fréquence des trains et les gains de temps que pourraient apporter des travaux de modernisation, leurs coûts et les délais de réalisation.
EELV se satisfait que la Commission nationale du débat public (CNDP) ait accepté que ces études complémentaires soient menées afin de vérifier la pertinence de l'alternative qu'ils proposent pour répondre aux enjeux de modernisation et de régularité de la ligne.
Dans le cahier d'acteur inter-régional d'Europe Ecologie Les Verts, lancé le 18 octobre dernier au Havre, les écologistes revendiquent en effet leur préférence pour un train du quotidien plutôt que pour la grande vitesse.
Dans le débat public sur le projet LNPN (Ligne Nouvelle Paris Normandie), les élus EELV normands et franciliens se sont démarqués de l’unanimiste ambiant règnant autour du dossier. "La priorité n’est pas de gagner du temps, mais bien d’apporter des réponses aux besoins des usagers amenés à se déplacer quotidiennement".
Les écologistes critiquent le projet tel qu’il a été soumis au débat et la démarche qui le sous-tend. "Ce projet est une opération de communication politique pour faire bien, pour faire chic, alors qu’on sait qu’il ne se fera pas", a affirmé Cécile Duflot au Havre le 18 octobre. Ils estiment que la facture serait "insoutenable", qu’elle serait répercutée sur l’usager et nécessiterait inévitablement un recours au privé.
Ils assurent que malgré l’ampleur des investissements qui devraient être engagés, les bienfaits restent à démontrer, sauf pour quelques-uns. "De telles lignes n’irriguent pas un territoire mais profitent aux pôles qui sont à chaque bout en laissant un désert entre les deux", prédisait Cécile Duflot.
En résumé, les écologistes estiment que le projet "pharaonique" de ligne nouvelle n’’est justifié que par "l’obsession d’aller plus vite alors que les usagers eux voudraient surtout arriver à l’heure et dans des conditions de confort moins dégradées". Ils estiment qu’il s’agit d’un projet "dépassé" construit sur "l’imaginaire de la grande vitesse" et fondées sur "les idées de 1980" plutôt que sur "les problèmes de 2020".
Les écologistes ne jugent ainsi "indispensable" qu'une ligne nouvelle qu’entre Paris et Mantes-la-Jolie, afin de séparer le trafic banlieue du trafic normand. Pour la plus grande partie de la ligne, ils plaident pour améliorer l’existant, acceptant cependant le principe d’une gare nouvelle à Rouen pour décongestionner ce noeud ferroviaire saturé. Ils assument le fait que, dans leur version, le gain de temps soit modeste (Le Havre se retrouverait à 1h45 de Paris contre 1h15 dans le projet soumis au débat et 2h05 aujourd’hui).
Ils estiment qu’avec cette approche modeste, il sera possible de réduire considérablement la facture, évaluée entre neuf et quinze milliards d’euros, et de consacrer l’argent ainsi économisé à l’amélioration des relations entre les bassins de vie normands et entre la Normandie et les régions voisines. Ils évoquent en particulier la remise à niveau des lignes Caen-Rennes, Rouen-Caen ou encore Bréaute-Fécamp ou Rouen-Dieppe.

En novembre 2011, le mois du film documentaire à Saint Pierre et Saint Etienne du Vauvray, Andé et Louviers (27)

A l'occasion de la 12e édition du mois du film documentaire, les communes de Saint Pierre, de Saint Etienne du Vauvray, d'Andé et de Louviers projettent une série de films qui nous interrogent sur des questions de notre époque : la solidarité, l'éducation, la mondialisation.
A Saint-Pierre, le 15 novembre 2011 à 19h, la question du lien intergénérationnel sera évoquée à travers le film : "A nous deux" de Valérie Denesle. Des vieux de plus en plus nombreux, de plus en plus seuls. Des jeunes dans l’incapacité financière de se loger. C’est à ces deux problèmes de société que répond tout naturellement l’idée de la cohabitation intergénérationnelle. Le principe : une personne âgée héberge un étudiant chez elle en contrepartie de sa compagnie ou de menus services, les rôles et engagements de chacun faisant l’objet d’un pacte de vie commune propre à chaque "couple". Entre logement solidaire et mariage d’intérêts, comment jeunes et vieux, si évidemment à distance dans notre société, négocient-ils au quotidien une vie commune ?
A Saint Etienne, le 22 novembre 2011 à 19h, ce sera la question de la pédagogie Freinet à travers le film "La voix de l'écolier" de Lydie Turco.
A Louviers, le 18 novembre à 20 h 30, "Champs mêlés" de Pierre Davidodici et Patrick Avrillon filme la rencontre entre des producteurs de fruits de Rhône-Alpes et du Toffo (Bénin). Ces "petits paysans" du Nord et du Sud partagent l'idée que seul un échange commercial équitable et à taille humaine leur permettra d'échapper, au moins partiellement, aux rapaces du commerce international. Refusant les discours consensuels sur le commerce équitable, ce film relate une diversité idéologique de positionnements et témoigne de la complexité de cette forme alternative d'échanges. Il est également le résultat d'une élaboration et d'un tournage collectif avec des lycéens d'une classe de cinéma-audiovisuel.
A Louviers encore, le 23 novembre 2011 à 20 h 15, "La pluie et le beau temps" d'Ariane Doublet aborde la question de la mondialisation, à travers l'aventure du lin normand exporté dans les filatures chinoises. Tout commence avec ce camion chargé d'un container aux inscriptions chinoises qui manoeuvre dans la campagne normande. Voici donc la mondialisation qui débarque... Le climat et le sol du Pays de Caux sont propices à la culture du lin. Voilà pourquoi les filateurs chinois viennent s'approvisionner en matière première dans les coopératives normandes. La culture du lin qui s'éteignait doucement est ainsi relancée par un nouveau marché à l'autre bout du monde. Se nouent alors des histoires de commerce, de main d'oeuvre, de spéculation. Durant une saison, Ariane Doublet a observé le fil du lin et écouté les mouvements du monde. De Chine, le cinéaste Wen Hai lui a envoyé des images de ses rencontres avec les ouvrières des filatures. Un film engagé soulevant des questions politiques. [Film présenté en compétition internationale au Cinéma du réel 2011 - Paris]
A Andé, le 30 novembre 2011 à 19h30, c'est la question de la fermeture d'une usine et de la perte d'emploi (une problématique que nous connaissons bien dans la région...) à travers un autre film d'Ariane Doublet : "Les sucriers de Colleville".

Jeudi 20 octobre 2011 à Rouen : venez débattre de la sortie du nucléaire avec Bernard Laponche, physicien nucléaire et expert en politique énergétique

Dans le cadre des "Jeudis de l'écologie", Europe Ecologie Les Verts invite le public à venir débattre de la sortie du nucléaire avec le physicien nucléaire Bernard Laponche et des animateurs d'associations écologistes et anti-nucléaires locales. Rendez-vous au café "LE TROIS PIÈCES" - 49bis, place du Général de Gaulle à Rouen, de 18h30 à 20h30.

Sortir du nucléaire, ça commence maintenant !

Bernard LAPONCHE est physicien nucléaire, expert en politique énergétique, ex-conseiller de Dominique Voynet au Ministère de l'Environnement, ancien directeur de l’Agence De l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie (Ademe) et auteur du livre «En finir avec le nucléaire», co-écrit avec Benjamin Dessus (édition Seuil)
L’urgence de la transition énergétique n’est plus à démontrer, son évidence s’impose de jour en jour.
Mais les changements dans les manières d’agir et de penser tardent à se concrétiser.
L’objectif est double :
  • Trouver les alternatives permettant de sortir de la dépendance aux énergies fossiles et nucléaire
  • Agir pour que les retombées de ces nouvelles sources bénéfi cient aux territoires et aux habitants, notamment à travers la créations de filières spécialisées, d’emplois nouveaux et de solutions économes pour l’habitat.
Ce «jeudi de l’écologie» apportera des éléments d’informations précis sur la situation énergétique actuelle, et sur les alternatives concrètes existantes.

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