L'association "Les Sabots d'Hélène" propose des séjours aux enfants de 6 à 13 ans sur les thèmes du cirque, de la musique et de l'environnement.
Programme artistique :
- Jongleries (balles, diabolos, assiettes chinoises...)
- Equilibre (boule, échasses, monocycle...)
- Aériens (trapèze, tissus)
- Acrobatie (pyramides, portés...)
- Jeux d'acteur (clown, théâtre d'impro)
- Musique (percussions)
Programme d'éducation à l'écocitoyenneté :
- Alimentation, santé et environnement
- Habitat, santé et environnement
- Ballades sensorielles
Autres activités :
- Jeux coopératifs, feux de camp, soins aux animaux...
Encadrement
- 1 directeur, 1 animateur, 1 cuisinier
Projet pédagogique :
L'objectif est de permettre aux jeunes de s'approprier le lieu et son fonctionnement, pour devenir les acteurs créatifs de leur séjour à Ecocircus. L'équipe d'animation favorise la concertation collective et les prises d'initiatives afin de développer le respect, la tolérance et la confiance en soi. Les enfants participent à la vie quotidienne, le rythme de chacun est respecté.
Repas BIO :
Préparés sur place avec des aliments frais, issus de l'agriculture biologique et de producteurs locaux.
Hébergement et transport :
Le centre fournit des tentes (3 places) pour 2 enfants. Le transport est à la charge des familles. Le séjour démarre par un goûter d'accueil au cours duquel les parents rencontrent l'équipe pédagogique. La semaine se termine par un spectacle réalisé par les enfants et un buffet dinatoire avec les familles.
Dates et Tarifs :
- du 1er au 7 août 2010 : enfants âgés de 6 à 8 ans ; 330,00€
- du 8 au 14 août 2010 : enfants âgés de 9 à 13 ans ; 330,00€
Contacts :
Association "Les Sabots d'Hélène"
1 rue de la Chapelle, hameau de Villerest
27440 ECOUIS
02 32 69 43 92
C'est fabuleux ! J'avais été impressionné par les clips de Röyksopp (vous vous rappelez ? Il y a, entre autres, le clip qui a inspiré la propagande d'Areva...), et leurs autres clips (Massive Attack,...). Et bien là il tapent très fort ! Vous aimez ?
La cuiller de plastique (et ouaih, pour ce palmarès, c'était pas du bois, que l'on préfère réserver à l'usage de la langue) pour notre région, la Haute-Normandie, qui arrive bonne dernière de ce palmarès des régions les plus vertes
Le chemin est long, et une certaine vision de l'écologie "positive" nous rappelle à notre rôle de cancre, au fond de la classe, près du radiateur...
Allons, ne nous affligeons pas, ils nous reste une chance d'infléchir les choses : vous faites quoi, vous, dimanche ?
Le dimanche 28 février, la nature nous a lancé un message d’alerte. Xinthia a dévasté les régions littorales atlantiques, ravageant dramatiquement la Charente-Maritime, la Vendée, et les Côtes-d’Armor, et laissant nombre d’habitants dans la peine et la douleur.
Pourtant, une onde de joie et d’espoir a illuminé ce sombre dimanche : Monsieur Claude Allègre lançait, dans la joie, son réquisitoire dans la dernière émission hebdomadaire politique du paf, c politique. Il dénonce l’imposture climatique, la fausse écologie, et l’Europe : « Il faut s’occuper des vrais problèmes et non des problèmes mythiques. On fait peur aux gens, mais on doit s’occuper des sujets d’espoir, et non pas des sujets de désespérance… »
Petite (dé)charge contre les écolos d’abord : Ils sont tristes, ils font peur, ils sont imbéciles.
Lui est joyeux.
Tiens c’est marrant ça, ça se voit pas ! Encore plus curieux : l’auditoire, au lieu de se fendre la pêche, à l’air de se contenir. Sûrement pour éviter de se faire pipi dessus à force de rire. Alors pas l’ombre d’un sourire, bravo le self-control ! Ou alors ce sont des écolos, et c’est pour ça qu’ils ne rient pas. Ou alors… Peut-être que pour Claude Allègre (ah de la joie encore), les personnes dans le public sont écolos, et les écolos sont tristes quand ils le voient. Tristes ou peinés. Et si ça se trouve, le public n’est pas écolo ? Alors peut-être l’allégresse est moins communicative que notre ce joyeux lutin ne le croit…
En tous cas c’est parti pour une heure de poilade ! Youpi !!!
Ces derniers jours, Elizabeth Badinter s’est installée dans les médias pour faire la promotion de son nouveau livre, Le Conflit – la mère et la femme. Elle y pointe du doigt les « naturalistes », les accusant d’être à l’origine, en partie, d’une régression des libertés des femmes.
Pour Elizabeth Badinter, les femmes subissent des pressions culpabilisantes. Ces pressions les enferment dans un rôle purement maternel, les poussant à allaiter leur enfant, au détriment de leur épanouissement social et professionnel.
Elle dénonce une régression par rapport au combat féministe des années 70 et 80, et à ses revendications de liberté et d’égalité pour les femmes. L’emblème pour elle en serait le retour des couches lavables !
Enfant des années 70, je connais bien ce débat. J’ai vu les mères des copines laisser maris et enfants pour rejoindre des communautés de femmes, reprendre leurs études, militer pour le planning familial. A l’inverse, mes parents étaient « écolos » et mon père avait à l’époque, c’est vrai, des idées assez rétrogrades sur le rôle de la femme - ma mère, qui nous a allaités, qui s’est occupée du potager, pendant que papa allait travailler !
En nous, les filles de ces femmes, le conflit semblait réglé et nous voulions tout: faire des études, trouver un boulot qui nous plaise, tenter la vie à deux et puis, oui aussi, avoir des enfants. (...)
On ne peut pas opposer le combat des femmes pour l’égalité au combat pour intégrer l’écologie dans notre monde. « A choisir entre les arbres et les femmes, mon choix est fait ! » lance avec provocation Elizabeth Badinter. Non, nous ne voulons pas choisir, nous voulons les deux. Vivre mieux, c’est à la fois une revendication sociale et une revendication environnementale.
répartition des tâches ménagères, congé parental, modèle scandinave, modes de garde, couches lavables, IVG, pilule... : Lire la suite.
A l'initiative de Greenpeace, nous avons manifesté pour que Copenhague soit une réussite.
Pour l'instant les engagements restent insuffisants. Mais éspérons que devant l'engagement de la socièté civile les décisions permettront enfin des avancées.
En attendant quelques brêves:
Bolloré, Total et EDF élus cancres du développement durable
Chaque année, l’organisation internationale des Amis de la Terre organisent les prix Pinocchio du développement durable, dans l’optique de pointer du doigt les entreprises et les multinationales "françaises" les plus néfastes d’un point de vue social et environnemental.
Simple, le concept repose sur le vote d’internautes, chargés d’élire les entreprises qu’ils jugent les plus critiquables via un site dédié (1). Le classement final se répartit en trois catégories : les « droits humains », « l’environnement » et le « greenwashing », démarche marketing visant à prôner une image écologique responsable.
Emissions de CO2 : "On est au-delà du pire scénario"
PARIS - L'augmentation du taux de CO2 dans l'atmosphère, à l'origine du réchauffement climatique en cours, se situe "au-delà du pire scénario" esquissé en 2007 par les scientifiques du monde entier, met en garde le climatologue français Hervé Le Treut.
"En termes d'émissions de CO2, on est au-delà du pire scénario qui avait été imaginé dans les projections du Groupe intergouvernemental d'Experts sur le Climat (GIEC)", explique à l'AFP ce spécialiste de la modélisation du climat.
"Il n'y pas de signal fort qui nous incite à être optimiste. On est sur une trajectoire qui se traduirait, selon les modèles, par 4 à 6 degrés de réchauffement" d'ici la fin du siècle, ajoute-t-il, à dix jours du sommet de Copenhague qui vise à enrayer la hausse du thermomètre.
Résolution Copenhague du Parlement européen : le nucléaire gâche la fête
Le Parlement européen a adopté, mercredi 25 novembre, une résolution sur Copenhague presque parfaite. Elle ouvre la voie pour une réduction des émissions européennes de 40% d’ici à 2020 et appelle à un soutien financier européen de plus de 30 milliards d’euros par an d’ici à 2020 pour aider les pays en développement à faire face à la crise climatique. Des positions cohérentes avec la science du climat et avec l’exigence de solidarité nord sud, malgré les tentatives des députés du Parti Populaire Européen (PPE) dont fait partie l’UMP pour affaiblir ce texte.
Malheureusement, sous l’impulsion de ces mêmes députés, un amendement a été introduit à la dernière minute pour valoriser le nucléaire dans la lutte contre les changements climatiques. Cet amendement stipule que « le passage, à l'échelle internationale, à une économie à faible intensité de carbone conférera à l'énergie nucléaire un rôle important dans le bouquet énergétique à moyen terme. »
Après une semaine de cafouillages et de cacophonies à droite comme à gauche, le Président de la République vient de rendre aujourd’hui son arbitrage sur la taxe carbone. Malgré ses déclarations, il a validé les annonces de son premier ministre, pourtant dénoncées par les associations écologistes et les Verts : un prix bas à 17 euros la tonne de CO2, l’exemption de l’électricité et de l’agriculture, et la redistribution du produit de la taxe à tous, entreprises et riches compris.
Une taxe carbone qui part en fumée ? [...] Lire la suite...