"Petite Reine", Tour de France : la France aime le vélo !
En France en 2014, le nombre de vélos vendus a dépassé celui des voitures. Pourtant, 70% des déplacements se font toujours en voiture. Parmi ces déplacements,
1 trajet sur 4 fait moins de 3 kilomètres !
C'est bon pour la santé, c'est bon pour la planète, c'est bon pour le porte-monnaie. Et c'est même
bon pour l'économie !
Imaginez tout ce que vous pourriez faire avec 5700€... Mais c'est comme la cigarette : c'est dur d'arrêter ! On est accros à nos habitudes, et les changer demande un effort. Pourtant on se sent si bien quand on a réussi la désintox :)
Sortir le vélo du garage et rouler avec, c'est gratuit, ça détend, et pas seulement le week-end. Prendre 20 minutes pour faire ses 5 kilomètres, c'est aussi faire son sport quotidien.
L'OMS (Organisation Mondiale de la Santé) le préconise : une activité physique quotidienne est le moyen de lutter contre les maladies (cancers, maladies cardio-vasculaires) liées à la sédentarité, classée comme le quatrième facteur de risque de décès dans le monde.
Le Tour-tandem Alternatiba
Le 10 août, à la moitié de leur parcours, plus de 160 000 personnes ont déjà participé à une étape (village alternatif, vélorution...)
300 personnes à
Rouen, et 233 à
Pont-Audemer, au coeur du mois d'août !
C'est la mise en acte d'un modèle coopératif et autogéré, où chacun-e pédale pour tous, dans la même direction.
Et ça marche, ou plutôt ça roule ! Alors oui, on se dit qu'un autre monde est possible, sans compétition ni épuisement de tout et tous (ressources naturelles, ressources humaines : même combat !)
Les dirigeants du monde sont attendus à Paris en décembre 2015 pour la
COP21, la conférence qui doit inscrire les engagements des Etats pour lutter contre le dérèglement climatique.
Dès aujourd'hui, des citoyens se mobilisent pour dire qu'un autre monde est possible et que
les alternatives existent déjà. Le rôle des politiques est d'agir pour le bien commun, agir pour garder un monde vivable. C'est le moment des choix, le moment de réorienter nos politiques locales et nationales vers des activités utiles et non destructrices.
Allez, petit clin d'oeil de Txetx à M. Laurent Fabius, qui présidera la COP21 en décembre : "Monsieur le Ministre, renoncez au projet inutile d'autoroute reliant l'A28 et l'A13."
Le gaz qui empuantit la normandie est en fait du mercaptan, un composé est un thiol, un constitué d'un groupement thiol-SH (sulfhydryle) et d'un atome de carbone. Son odeur très forte rappelle celle du soufre. C'est le gaz qui donne son odeur ... au gaz domestique qui serait inodore sans cela. Ce gaz sert donc à repérer les dangers.
Saint-Pierrois et Stéphanois du Vauvray, il est inutile d'appeler Holcim pour l'en accuser. Cette entreprise a fait bien des efforts pour contrôler sa production. Et nous l'appelons dès qu'il y a un souci. Pour cet événement, elle est innocente.
Même si les mesures ont révélé un seuil de concentration faible de ce gaz, son seuil olfactif est très bas, ce qui explique cette puanteur.
Même si le gaz est sans danger, même si le seuil de concentration est faible, il faudra que Lubrizol s'explique sur l'accident, cal il s'étend sur un périmètre de dizaines de kilomètres autour de Rouen.
Un danger existe néanmoins, c'est d'imputer l'odeur de gaz aux fuites de l'entreprise, et de laisser un gaz ouvert par inattention. Là, pour le coup, cela passerait de la gêne forte au risque d'accident grave. Prudence donc.
Pas merci, Lubrizol. Des explications et des excuses sont à prévoir rapidement, avant de garantir qu'une telle chose ne pourra pas se reproduire.
Beurk, donc, et ouf, beurk seulement. Pour l'instant...
Suite à la mort d'un gendarme de la brigade fluviale, la course a été arrêtée. L'acident s'est produit à 6h20.
L'embarcation des gendarmes, chargée de la sécurité du passage des péniches, à été percutée par le bâteau d'un concurrent. Un gendarme a été blessé et souffre de contusions multiples, tandis que son collègue est malheureusement décédé.
Il a été aussitôt mis fin à la course et tous les concurrents ont regagné les berges.
Mais cet accident va rouvrir le débat sur l'existence même de cette course, qui se déroule au plein coeur de la ville. Estimée comme dangereuse et extrêmement bruyante par de très nombreux riverains, cet accident risque de remettre en cause l'existence même de cette manifestation. Est-ce la fin des 24 heures de Rouen ?