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Let’s Make Money ou “Que font les banques de notre argent” ?

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A la veille des élections européennes, le comité ATTAC Louviers vous invite à deux projections–débats avec Djilali Benamran, économiste et membre du Conseil Scientifique d’ATTAC :

LOUVIERS le 4 juin à 20h15 au Grand Forum

GAILLON le 5 juin à 20h au Cin’évasion

Dans ce film, le réalisateur autrichien Erwin WAGENHOFER (auteur de We Feed the World, que vous avez pu voir il y a un an et demi sur les écrans de la région) nous conduit sur les circuits de l’argent, souvent scabreux, voire totalement illégaux. De l’usine allemande de fabrication de chaudières industrielles délocalisée en Inde, en passant par les plantations de coton en Afrique pour aboutir à Jersey, île Anglo-normande et célèbre paradis fiscal, ce « film dénonce l’inégalité flagrante d’une machine à spolier » (Télérama).

Documentaire rude et sans concession, mais véritable œuvre de salubrité économique et publique, Let’s Make Money mérite d’être salué pour les questions qu’il pose, le constat insensé qu’il dresse, la réflexion collective qu’il appelle et les solutions que l’on doit tous trouver afin de voir notre monde changer.

A la veille des élections européennes, c’est le moment de bien choisir.

SYNOPSIS : Les banques introduisent notre argent dans le circuit monétaire international, si bien que toute personne ayant un compte bancaire participe sans le savoir au système financier mondial.
À travers les témoignages des différents acteurs de ce système, le réalisateur nous révèle les risques d’une économie sans garde-fou : paradis fiscaux, chantage économique, investissements fictifs, etc.
Ce film impressionnant montre les dérives du système libéral et ses conséquences humaines, démographiques et écologiques. Un documentaire implacable prévoyant une crise inévitable.

A savoir :
3% des hommes de la planète s’enrichissent au détriment des 97% autres ;
11 500 milliards de $ (soit 1650$ par habitant de la planète) sont cachés dans les « paradis fiscaux », soit une perte d’impôts de 250 milliards de $/an. Ces dollars seraient immédiatement utilisables pour les biens publics mondiaux destinés à l’ensemble de l’HUMANITE, tels que l’accès à l’eau, à la santé, à l’éducation.
Il y a une dizaine d’année, dans le monde, le nombre de personnes souffrant de la faim était de 850 millions, aujourd’hui il est proche du milliard. Contrairement aux engagements pris par les chefs d’état à l’ONU en 2000 de réduire ce nombre de moitié à l’horizon 2015.

Nous contacter :
tel : 02 32 40 33 32
courriel : louviers@attac.org

Laetitia Sanchez
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