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Agglomération Seine-Eure (CASE) : fin du traitement thermique des trottoirs et retour au glyphosate
Après avoir abandonné les traitements des trottoirs aux herbicides au profit de désherbage thermique moins dangereux dans cinq communes, puis deux, la CASE revient au traitement chimique, au glyphosate, un produit reconnu “cancérigène probable” (2A) par l’OMS.
La ministre de l’écologie veut donner un message pour protéger la santé des habitants :
La France doit être à l’offensive sur l’arrêt des pesticides, a déclaré la ministre. Elle doit être aussi à l’offensive sur l’arrêt des pesticides dans les jardins.
Ségolène Royal communique sur le glyphosate, reconnu « cancérigène probable » par l’OMS
Mais nous sommes en France, au pays du « faites ce que je dis, faites pas ce que je fais ! » Ce qui vaut pour les jardins des particuliers ne vaut pas pour les trottoirs qui donnent sur ces jardins.
Ne dit-on pas que la santé n’a pas de prix ? Elle en a un : le glyphosate est moins cher que le traitement alternatif.
nono
Pendant ce temps-là, à quelques dizaines de kilomètres, la ville d’Elbeuf devance l’appel du « Zéro phyto » : http://www.paris-normandie.fr/…/la-ville-d-elbeuf…
Sanchez
Il est étonnant de voir combien de buts différents viennent du traitement thermique. Que ce soit pour les maisons ou pour la nourriture, il est partout. Je pense qu’il y a vraiment des circonstances où il faut s’en servir.
Nathan Petit
Moi, je trouve que c’est très intéressant que l’on ait décidé d’abandonner le traitement thermique des trottoirs afin de retourner au glyphosate. Comme le dit l’article, le désherbage thermique était moins dangereux, bien qu’il soit plus cher. En tout cas, je vous remercie de votre partage sur la transition du traitement thermique aux herbicides, car il m’était très instructif.
Louis Gaillard