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Petit guide pour bien protéger les enfants sur internet : comment mettre en place un contrôle parental

Vous avez appris les livres aux enfants. Ils ont découvert la lecture, l'écriture, les images, dessins, photos, les films, les pubs. Ils ont appris tout petits les écrans, la télé, les ordinateurs, le multimédia, le smartphone...
Ils ont découvert internet dès l'école primaire. Internet est un incroyable puits de connaissance. Aussi, quand ils arrivent au collège, internet devient un outil indispensable...
Plus de 40 millions de français se connectent sur le web. Google, Microsoft et facebook sont sur le podium des sites les plus consultés. La quasi totalité des internautes est passée par Google. Les trois quarts par facebook. Youtube, wikipédia, moteurs de recherche, sites d'information, qui sont parmi les sites les plus lus ou regardés par les internautes.
Rappelons au passage que les réseaux sociaux sont interdits aux moins de 13 ans. Lisez ces conseils diffusés par la CNIL à l'attention des parents.
simpson-google-thumb
Mais les réseaux sociaux ne sont pas les seuls dangers qui guettent les jeunes adolescents sur la toile. Vous recherchez une information, "google est ton ami" a-t-on l'habitude de dire...
Mais google, comme d'autres moteurs de recherche, est-il si bienveillant et adapté pour les enfants ?
Ta, ta, ta... Business is business.
Pour le savoir, il nous suffit d'effectuer quelques petites recherches, sur le contenu, et aussi sur la recherche d'images : drogue, alcool, tabac, et... sexe. Des préoccupations pour les parents, et des interrogations parfois pour les enfants.
Sur le tabac, l'alcool ou la drogue, Google, Yahoo et Bing offrent sensiblement les mêmes résultats, avec des messages de prévention sur les risques liés à toutes ces drogues. Le bilan est assez positif. Voyez plutôt ici...
Qu'en est-il de la réponse à la requête "sexe". Les mineurs sont-ils protégés ?
sexe-google-image-thumb
Pour savoir si vos enfants ont une recherche protégée, il vous suffit d'effectuer la recherche en cliquant sur ce lien.
Vous êtes rassuré(e) ? Le contenu n'a rien d'offensant pour les enfants ? C'est que vous avez opté pour l'option "safesearch" (ou que vous avez l'esprit large). Regardons plutôt ce que ça donne sans activer le filtre parental (j'ai ajouté le flou) :
Au cas où vous ne seriez pas du tout, mais alors pas du tout du tout, satisfait(e) par le résultat de la recherche il n'est pas trop tard pour agir. Quelques mesures s'imposent...

Il est temps d’activer le contrôle parental !

Le contrôle parental, c’est quoi ? D’abord, c’est apprendre à l’enfant à utiliser, non seulement l’ordinateur, mais aussi le réseau.
Apprendre à conduire ne nécessite pas que l’apprentissage de la conduite d’un véhicule, mais aussi l’apprentissage du code de la route. Il en est de même pour pouvoir surfer sans risques sur le réseau.
En grandissant, les enfants vont devoir être de plus en plus autonomes sur internet, pour les loisirs comme pour leurs devoirs. Des mesures simples peuvent être mises en place pour les protéger.
  1. Créez un compte utilisateur avec contrôle parental à votre enfant :

    Evitez de lui donner les droits d’administration de l’ordinateur, qui lui permettraient de tout faire (télécharger et utiliser tous les logiciels, se balader sur les réseaux, changer les mots de passe, etc).
    La procédure est très simple : il vous suffit de vous rendre dans les préférence “utilisateurs et groupes”, de créer un compte (utilisateur standard).
    Il suffira ensuite de choisir les options de contrôle parental…

    Créer un compte avec contrôle parental sous Windows

    Vous pouvez créer un compte avec contrôle parental en quelques minutes sous windows. Si d’autres solutions existent, il reste néanmoins une opération simple et gratuite pour sécuriser l’accès à l’ordinateur pour les enfants. Attention ! On trouve sur internet des méthodes pour contourner ou désactiver le contrôle parental, selon le système d’exploitation utilisé. N’oublions pas que le contrôle parental reste un contrôle… des parents.
    Le contrôle parental ici reste le contrôle d’accès à l’ordinateur. Il faudra ensuite limiter menaces sur internet…
    compte parental windowscompte parental windowscompte parental windowscompte parental windowscompte parental windowscompte parental windowscompte parental windowscompte parental windows
    Sous Windows 8, vous pouvez lire la doc très complète ici


    Créer un compte avec contrôle parental sous Mac

    Vraisemblablement le plus simple et le plus complet des paramétrages système pour le contrôle parental : sous mac, dans les préférences, vous cliquez sur “utilisateurs et groupes”, vous cliquez sur le + en bas à gauche pour ajouter un compte (votre mot de passe sera demandé) et vous créez un compte standard (par défaut).
    Vous cochez la case “activer le contrôle parental et il ne vous reste qu’à paramétrer les contrôles : applications autorisées, sites web autorisés ou interdits, limitations de l’accès au mail, jeux, horaires limités et temps maximum autorisé en semaine ou le week-end, le contrôle est assez complet…
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    Le contrôle parental restreint l’accès à l’ordinateur. On peut limiter le temps, les applications, les sites, les mails.


    Créer un compte avec contrôle parental sous linux

    Sous linux, en général, les utilisateurs et administrateurs de la machine connaissent un peu plus les rouages de leur système.


    Bien sûr, les comptes administrateurs (les parents) utilisent un mot de passe, et les enfants ignorent ce mot de passe !..
    Cela va sans dire, mais ça va toujours mieux en le disant ;-)
  2. Sécurisez votre web avec OpenDNS : une solution facile à mettre en place, mais…

    Avec OpenDNS, vous pouvez activer facilement un filtrage web en créant un compte gratuit.
    OpenDNS permettra de vous protéger simplement du phishing (les sites se faisant passer pour votre banque, par exemple) et permettra de réaliser un contrôle parental puissant en utilisant les catégories prédéfinies (malwares, porno, etc) ou bien en utilisant les listes noires et les listes blanches mises à jour.
    il y a le mais : Mais ! OpenDNS collecte avec votre accord toutes les données que vous échangez avec la société :

    OpenDNS terms of service (extrait)

    [...] any information you transmit to OpenDNS via the Services related to the functionality of the Services and Software, whether by direct entry, submission, e-mail or otherwise, including data, questions, comments, or suggestions, will be treated as non-confidential and non-proprietary and will become the property of OpenDNS. [...]

    Je ne conseille donc pas si vous pouvez faire autrement et si vous êtes en confiance dans le comportement de votre enfant vis-à-vis de la protection web que vous mettez en place.
    Mais si vous voulez protéger l’enfant malgré lui, je ne peux pas vous le déconseiller. C’est efficace contre le phishing, le porno et les malwares, ça peut être installé sur un routeur pour protéger tous les ordinateurs du foyer, et c’est gratuit. Enfin gratuit  en échange, vos données, vos recherches, vos questions, mais aussi le contenu des emails et les commentaires qui deviennent leur propriété, ça vaut le coup d’y réfléchir à 2 fois.
    Pour installer, c’est tout simple, que ce soit sur le routeur ou sur une machine. Mais attention sur les box avec VOIP (téléphonie sur internet), le changement de dns sur la box peut-être déconseillé.


    Installer le filtre parental OpenDNS par défaut sous Windows

    Quelques minutes suffisent pour installer familyshield (filtrage familial d’openDNS) :
    Il suffit d’ajouter deux adresses IP, 208.67.222.123 et 208.67.220.123, aux serveurs DNS dans les propriétés internet :
    installer openDNSinstaller openDNSinstaller openDNSinstaller openDNS


    Installer le filtre parental OpenDNS par défaut sous Mac

    Comme sur Windows, c’est très (plus) simple et rapide d’installer familyshield (filtrage familial d’openDNS) :
    Vous ajoutez deux adresses IP, 208.67.222.123 et 208.67.220.123, aux serveurs DNS dans les propriétés internet :
    installer openDNSinstaller openDNSinstaller openDNS

    Installer sur les autres plate-formes (linux, wii, smartphones, autres versions de windows)


  3. Choisir le navigateur :

    firefox
    Tout d’abord, vous allez choisir le navigateur. Parce que l’enfant n’a pas besoin d’en avoir deux, et vous n’aurez d’en paramétrer deux, ou trois…
    C’est ce navigateur qui sera autorisée par le filtre parental. Le choix du navigateur est donc important.
    Tous les navigateurs ont leurs qualités et leurs défauts, mais on va s’intéresser uniquement à ceux qui permettent d’importer des modules (ou extensions) qui modifient leur comportement ou ajoutent des fonctionnalités.
    Exit internet explorer, le navigateur par défaut de Windows.
    Et puis on va regarder les catalogues d’extensions, pour regarder si on y trouve celles qui permettront d’adapter le navigateur aux besoins des enfants.
    Si Opera et Safari proposent bien addblock (ou addblock plus) dans leur catalogue, celui-ci est trop riquiqui pour trouver les modules qui nous intéressent.
    Exit Safari et Opera donc !
    Qu’est-ce qui reste sur le bateau ? Firefox, le navigateur libre, et Google chrome. Sur les deux navigateurs, on trouvera notre bonheur. Les deux présentent sensiblement les mêmes options, offrent une navigation optimisée sur tous les sites, c’est une question de design : la principale différence pour l’internaute, c’est que sur firefox, la barre de recherche est séparée de celle des urls, alors que sur chrome, urls et recherches sont saisies dans la même barre (ce que Google appelle “l’omnibox”).
    A vous de choisir, j’ai opté pour firefox pour ma fille (et pour moi, pour la qualité de l’implémentation de firebug).
  4. Installer les extensions :

    Attention, pour installer et activer les extensions, il faut vous rendre ouvrir une session avec le compte de votre enfant. Les extensions du navigateur et les préférences ne concernent que cette session (vous n’aure pas les mêmes).
    les-modules-thumb
    Point important sur les modules : simples à installer, ils sont aussi très simples à désinstaller.
    C’est parfait… si l’enfant ne va pas lui-même désactiver ou supprimer l’extension.
    Nous allons pouvoir installer quelques extensions pour firefox (ou chrome si vous avez opté pour chrome, sachant que vous aurez interdit l’accès aux autres navigateurs dans le contrôle parental).
    • Comme sur votre propre navigateur, vous allez pouvoir installer addblock plus : avec ça, vous chassez les publicités et les bannières de toutes les pages web.
    • Vous installez blocksi, qui va pouvoir filtrer un tas de sites “adultes”, malveillants, mais interdire les réseaux sociaux, le webmail, les chats, newsgroups, j’en passe…
    • Un module de filtrage web encore : ProCon Latte Content Filter
    • Si cela ne suffisait pas, un module de filtrage très, très restrictif : foxFilter.
    • Enfin, un petit dernier pour la route, https everywhere qui généralise la connexion sécurisée HTTPS avec de très nombreux sites.
    Normalement, votre contenu devrait être désormais convenable pour votre enfant. Voyons comment paramétrer tout ça :

    Paramétrer Blocksi, la boîte à tout (ou rien) faire :

    paramétrer blocksiparamétrer blocksiparamétrer blocksiparamétrer blocksiparamétrer blocksiparamétrer blocksi


    Quant aux autres modules, il n’y a qu’à installer, ou presque : seul “addblock plus” demandera une fois pour toutes de cocher 3 options au démarrage, que vous activerez par défaut.
    Voilà. Ce n’était pas si long, et le le web est d’un coup plus accessible… aux enfants.
    On a fini ? Presque : rappelez -vous, il reste une petite chose… Si vous voulez bloquer le contenu offensant sur google, et verrouiller cette option, c’est maintenant qu’il faut le faire. Enfin… dans le chapitre qui suit.
  5. Sécuriser votre moteur de recherche pour le rendre plus compatible avec les enfants… et verrouiller la fonction :

    préférences google safesearch
    On l’a vu, sans le paramètre “safesearch” activé, google inflige aux jeunes ados des résultats de recherche parfois choquants.
    Il faut donc aller sur cette url (toujours dans la session de votre enfant) https://www.google.fr/preferences, cocher la case “filtrer les résultats à caractère sexuel explicite” et verrouiller safesearch en cliquant sur le lien Verrouiller safesearch sur la droite.
    A partir de ce moment, il vous faut être logué avec un compte google pour pouvoir verrouiller l’option. Vous en avez un  ? Vous vous connectez et c’est verrouillé. Puis vous vous déconnectez, tout simplement.
    Vous n’avez pas de compte google ? Qu’à cela ne tienne ! Vous vous créez un compte, vous verrouillerez ainsi le safesearch, puis vous vous déconnectez.
    Dernière petite chose (si, si…) : s’il est si facile de verrouillez le compte en se connectant ou en créant un compte google, qu’est-ce qui va empêcher un enfant de se créer un compte ?
    Bah, vous : lorsque vous aurez verrouillé le compte, retournez sur votre session administrateur, il vous suffira d’ajouter cette url au sites interdits au compte de votre enfant : https://accounts.google.com. La page lui sera alors refusée.
Quand vous aurez réalisé tout ça, le compte de votre enfant sera protégé… jusqu’à ce qu’il grandisse et trouve le moyen de contourner ces sécurités. Le contrôle parental ne peut être qu’un contrôle logiciel.
Faites sur internet comme vous faites sur la route : Passez du temps pour lui expliquer les dangers qu’il (elle) court sur internet, expliquez-lui que les amis croisés par hasard sur le web sont peut-être des personnes malveillantes masquées. passez du temps avec elle ou lui pour lui faire découvrir les bonnes pratiques sur le web, expliquez-lui l’usage de l’ordinateur, apprenez à l’utiliser sans en abuser.
Et dernier conseil, vous avez bridé le compte de l’ordinateur pour protéger votre enfant. Veillez à ne pas le brimer non plus. Passez du temps sur la session de votre enfant pour voir si vous n’avez pas bloqué trop de choses, d’urls (adresses internet) ou d’applications. Si tel est le cas, débloquez-les.
Lisez bien les conseils de la CNIL qui insiste sur le dialogue, le partage, l’éducation et la responsabilisation.

Conseil municipal du 12 juillet 2012 : changement de serveur de communication (standard téléphonique)

Pascal Schwartz présente les devis pour des solutions de remplacement du serveur de communication. 2 offres sont proposées aux élus municipaux qui les découvrent sur place. Et oui, les documents ne parviennent encore aux élus d'opposition qu'au dernier moment. Que ce soit le budget : votez, on vous dira pour quoi vous avez voté... ultérieurement ! Ou que ce soit pour cette délibération, et où la documentation est livrée en cours de débat encore... Et le maire dira : "C'est bien marqué, il faut lire hein ?" Et bien il suffit de donner le temps de lire. Lisez donc la doc que je vous joins en lien en bas du billet, vous avez trois minutes... Quant aux explications sur place, livrées par Alain Loëb lui-même - lui a eu le temps de lire : je ne comprends rien aux explications, ni aux termes. Enfin, je suis obligé d'interpréter. Suis-je trop idiot ? Ou bien... Bref.
Alain Loëb explique que le contrat arrivant à expiration, il l'a dénoncé et et a fait appel des offres de Nextiraone et 3LI.
Les besoins d'un serveur de communication sont essentiellement l'attente téléphonique (petite musique et message qui dit "bienvenue à la mairie de Saint-Pierre du Vauvray, vous allez être redirigés...", ou bien, selon l'heure "La mairie est fermée, les horaires d'ouverture sont..."), les transferts d'appels, en interne ou en externe, les renvois d'appel, la gestion des doubles appels. A cela s'ajoute la messagerie vocale (Chaque poste possède sa propre messagerie vocale et peut stocker les messages vocaux) et la messagerie unifiée (fax - mailtofax et faxtomail - et messages vocaux sont gérés via le compte mail, économisant en outre du papier).
Toutes les solutions de serveurs de communications rendent ces services à minima : les PABX, destinés à la base pour des lignes de téléphone traditionnelles (analogiques), mais qui sont équipés aujourd'hui de cartes VOIP (téléphonie illimitée par internet), les IPBX, 15% plus chers à l'achat mais bien plus économiques à l'utilisation (maintenance et communications), et les centrex, services externalisés, bien trop chers pour une si petite structure.
Le choix qui est fait est celui du PABX avec une carte IP. Pascal Schwartz explique qu'en cas de panne d'électricité, une ligne commutée est indispensable pour pouvoir téléphoner. Je suis tout à fait d'accord avec lui, et j'en avais fait la demande pour l'école maternelle, lorsque les institutrices se sont trouvées sans possibilité de téléphoner pour prévenir les parents de venir chercher leurs enfants pour raison médicale. Pour l'école cela avait été un NIET, c'était téléphone OU internet.
Pour la mairie, par contre, c'est oui. Je suis d'accord pour la mairie. Et je suis toujours d'accord, pour les mêmes raisons, pour l'école. Et on parle bien de la sécurité des enfants, là. Mais, avec les mêmes arguments, c'est la municipalité qui n'est pas d'accord. 2+2=3
Juste une chose : en cas de panne d'électricité, comme je l'entends comme argument, le PABX sera éteint. Un serveur a besoin d'énergie pour fonctionner. Il faudra se résoudre à utiliser un bon vieux téléphone, celui qui n'a pas besoin d'être branché sur le réseau électrique, ou un portable... -1 pour le PABX.
Dans la présentation des services téléphoniques, on glisse vers le réseau informatique, Alain Loëb introduisant la confusion lorsqu'il parle de wifi. Je pense qu'il voulait dire sans-fil, une partie des téléphones étant DECT (téléphones sans fils numériques) ? A moins que la [le, dsl] WIFI ne représente l'accès internet ? Ainsi que l'IP qui semble aussi désigner l'accès internet. Va savoir, Charles.
S'ensuit un débat un peu surréaliste où Jérôme et le maire parlent de WIFI et de filaire, ce dernier disant "on ne m'a pas proposé de filaire pour la WIFI". L'échange qui suit ne sera sûrement validé ni par numérama, ni par pc-inpact :-)
Pour ce qui est de la connexion des ordinateur au réseau local, les tours sont connectées au réseau par du cable cuivre, j'avais même donné du câble et des prises ethernet RJ-45 legrand à la mairie en 2008 pour relier l'étage au réseau. Le wifi est néanmoins utilisé par le macbook du maire et, j'imagine, les smartphones. Enfin, pour des solutions distantes, il est possible à très peu de frais d'équiper le réseau de prises CPL, qui sont des prises qui permettent de connecter un ordinateur à internet en se branchant directement sur le réseau électrique, en toute sécurité et avec des débits très confortables.
La question de Laetitia concernant la mise à disposition d'un poste relié à internet pour les habitants, c'était dans le programme de 2008. J'avais donné un ordinateur multimedia dans ce but à la mairie, mais cela ne s'est jamais fait. Comme tant d'autres choses.
Alain Loëb répond : "Beaucoup de gens on l'IP. Beaucoup de gens ont internet."
"C'était dans notre programme", dit Jérôme.
"Oui, oui, mais il faut de la place et caetera", rétorque le maire, "et dans les conditions où l'on traite l'utilisation."
Beaucoup de gens ont internet. C'est un fait. Beaucoup de gens ne l'ont pas, c'est est un autre.
Mettre un poste à disposition du public dans la mairie est une chose facile à faire, c'est peu coûteux - nul besoin d'une station de travail hyper moderne -, utile, avec par exemple une liste de liens utiles pour toutes les démarches et l'information des citoyens (tiens, avec un lien vers saintpierre-express, pourquoi pas ? eh, eh ;-) Ils pourraient voir en mairie les conseils municipaux).
Mais si beaucoup n'ont pas internet, c'est aussi parce que son usage n'est pas facile pour beaucoup. cela nécessite de la formation.
Que la mairie mette à disposition une salle et du matériel, et je me propose bénévolement de faire des formations à l'informatique, à internet et aux services web, et à la messagerie, à l'attention des habitants qui le désirent.
Pour revenir au vote, ce sera à l'unanimité. La solution est certes Rolls pour les besoins. La liste de fonctionnalités dépasse ce dont a besoin la mairie (nombre d'abonnés possibles impressionnant : 36 en analogique, 24 en numérique, 96 en IP, nous sommes prêts pour un regroupement de communes, pléthores de fonctions pour la communication, VPN pour le travail à domicile en toute sécurité...). Les téléphones sont haut de gamme. Il y a même possibilité d'ajouter un casque sf, comme on en voit à l'accueil des entreprises, où les hôtesses répondent sans cesse au téléphone. Ici, je ne pense pas que ce soit utile. Si on a l'argent, si cela améliore les conditions de travail des employés de mairie, et bien tant mieux.
Le matériel coûtera, dans le cas où c'est la solution de Nextiraone qui est retenue, 3.500€ H.T., auquel il faudra ajouter 384€ de maintenance/an.

Orange va construire un des plus grands datacenters d’Europe à Val-de-Reuil (27100)

datacenterAltitude Telecom et EDF avaient déjà choisi ce site pour leurs datacenters. C'est maintenant au tour d'Orange de choisir Val-de-Reuil pour y construire un des plus grands datacenters d'Europe. Orange a acheté un terrain de 18 ha, et le premier bâtiment de 10.000 m2 devrait ouvrir ses portes dès 2012. La raison invoquée : réduire de 20 % les émission de CO2, et diminuer de moitié la consommation énergétique...

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